Introduction générale

De Wiki ECOPOL

Eléments à aborder :

- changements cognitifs taines - quêtes de repères

- apprentis sorciers de la science

- science sans conscience, éveil des consciences

- digital natives

- inspirations de la culture libre

- distinction éthique (libre), innovation (open) et domination (privative) comme fil rouge

- livre "les pieds nus"

- photocopier possible

- etc, à compléter


ESSAI BASES FONDAMENTALES

certaines loi de l'univers matériel s'appliquent à l'immatériel d'abord Lamarck la fonction crée l'organe, le mode de fonctionnement créer le mode d'organisation ensuite théorie des jeux, qui est à cheval entre matériel et immatériel et pose les bases des modes de relationnement puis "le médium c'est le message", alors le "moyen de communication c'est l'écosystème informationel" enfin le numérique intègre/englobe tous les autres moyens de communication et impose ses propriétés socio-techniques invariables (demander à Raymond Morel son avis)

intrusion du numérique dans nos vie à tous les niveaux, nouvelle source à laquelle nous nous abreuvons au quotidien, car source répondant mieux à nos besoins d'une société "industrielle" révolution numérique sans comparaison avec les précédente révolution de l'imprimerie, la radio et la télé sur nos vie, degré de dépendance incalculablement supérieur la rupture sociétale est aussi fondamentale que la naissance du verbe, de la parole, qui est le fondement de la majorité de nos croyances donc nos croyances sont reparamétrées, changement, de programation, cognitif

c'est pour cela qu'on parle de de nouveaux paradigmes illustré par la distiction entre digital natif versus migrant, le transfert des hiérarchies de statut (alias cathédrale) vers les hiérarchies de compétences (alias bazar) ,la transition du pouvoir des clans vers les communautés de pratiques), l'émeergence de nouveaux modèles socio-économiques et culturels à tous les niveaux, à l'école, au travail, en famille.

la bonne nouvelle, c'est qu'on a des clés de lecture fiable, des répères dnt le degré d'évolution est faible, des codes de conduite génériques qui s'appliquent en toute circonstance dans un contexte donné, dont il eest utile de prendre conscience pour garder son destin en main ce qui ne fait commencer c'est effectivement un changement sans précécent, une nouvelle donne globale, mais ce n'est pas une série de rupture sociétales qui va nous faire passer de l'humain au technoide plein de greffon technologique, c'est plutot un passage obligé pour nous permettre de revenir à nos essentiel, c'est cela le grand meessage des propriétés socio-techniques du numérique : un meilleur équilibre entre nos deux cerveaux, une plus forte équité sociale, lentement, très lentemennt, par à-coup, avec des régressions passagère comme des étincelle à l'échelle cosmique, mais terribles à l'échelle de nos vies, comme la cyberdépendance aux jeux ou aux relations socio-économiques et culturelle par écran interposé, et pls largement l'amplification de tous nos bons et mauvais côté

si nous sommes des apprenti sorciers aujourd'hui avec le nucléaire, les nanotech, les biotech, la propagation d'ondes de télécom et les mondes virtuels, au fond toutes ces technologies sont intrinsèquement dépendantes du numérique, qui est une composante essentielle de leur fonctionnement et leur trait d'union,

métaphore de spiderman "de gand pouvoir signifient de grandes responsabilités", au même titre que "science sans conscience n'est que ruine de l'ame"

miccrosoft, google, facebook et tous ces nouveaux phénomènes créés à coup de milliards sont des produits très imparfaits de cette nouvelle ère qui balbutie, il y a un quart de siècle, aucun n'existait, lesquels seront encore sur le devant de la scène dans 25 ans ? lesquels sont les plus résistants aux aux mini-ruptures technologiques et à la maturation des comportements induite par la croissance de la conscience des enjeux sociétaux du numériques ?

le numérique est-il le principal vecteur de la réconciliation entre science et société, nous (re)donnant une possibilité de jouer un réel rôle moteur pour des changements positifs à l'heure de la globalisation des échanges sur notre planète aux écosystèmes passablement fragilisés. Répondre un grand OUI, est-ce naîf ? Peut-on apporter à ce oui franc et massif des justifications objectives, basées sur les connaissances fondamentales et sur des preuves statistiques fiables ? C'est le but de ce livre.

depuis 15 ans, je lis tous ce que je trouve en 3 langues (anglais, français, portugais) sur le sujet de la société de l'information, des nouvelles technologies de la communication et de la révolution numérique.

tout ce qui m'a semblé digne d'intérêt durable, suffisamment clasir et cponcis pour laisser une trace durable et entrer dans les essentiels, ont pour points communs un regard sans compromis sur les enjeux de société et la promotion d'un humanisme éclairé comme source de réconciliation entre science et société.

face aux enjeux de la société de l'information moderne de la convergence numérique, dans la jungle des réflexions sur l'impact des 1 et 0 sur notre société, parmi les nombreuses tentatives de proposer une vision durable des transitions à l'oeuvre aux niveaux culturels, socio-économique, philosophiques ou anthroposophique, sociologique, politique, dans la foultitude des analyses et manuel de savoir-vivre, de l'internet pour les nuls à Word sans peine en passant par "que nous réserve le numérique", seule une petite dizaine de groupes d'auteurs me semble proposer une synthèse fondamentale suffisament concentrée et précise pour qu'elle soit encore d'actualité dans un siècle

Tous sont inspirées des penseurs d'il y a environ 2.5 millénaires ans, qu'ils soit chinois (lao Tseu, Confucius), grecs (Socrate, platon, Aristote) et de ceux qui ont prolongé leurs oeuvres à l'époque romaine puis à la renaissance, particulièrement rabelais, da vinci, qui tous ont non seulement crée des machines, mais aussi identifié et perfectionné des mécanismes de gestion de la connaissance comme les arguments fallacieux (sophisme) ou plus matériellement l'imprimerie de Gutemberg.

Tous ont promu un humanisme éclarié comme source de réconciliation entre science et société

tout d'abord les holostiques vaste groupe dispersé sur le siècle et les influence, mais fondamentalement parlant d'une même voix. Impossible de tous les citer, Parmi eux Vrenadski, gàochimiste russe, précurseur de l'écologie technique moderne, qui a défini les bases pour distinguer la biosphère de la noosphère, souvent considéré comme aussi important que Darwin dans sa contribution à la science. Ce dernier était ami de Rudolf Steiner, fondateur du mouvement anthroposophique, dont la spécialité ne fut jamais la société de l'information, mais qui par son approche écosystèmique réussi à formaliser des mécanismes éducatifs qui sont aujourd'hui pratiqué dans le monde entier et permettent de poser des bases solides pour gérer la connaissance. Come Piaget, il propose une approche basée sur le jeu, le plaisir d'apprendre, la coopération et l'observation de la nature pour mieux voir s'y refléter notre nature humaine d'animal social. Teilhard de chardin le jésuite anthropologue qui, depuis son exil en Chine durant la 2e guerre mondiale, a proposé la vision d'un monde qui enfante. Vladimir illich, prètre lui aussi, qui non seulement valorisait les outils conviviaux qui aujourd'hui sont la clé du succès de tout projet de plate-forme web, mais surtout permis l'émergence de la conscience des dangers des monopoles radicaux, principe décrivant l'exclusion qu'une technique puissante engendre sur d'autres plus faibles, comme la dominance des autoroutes sur la marche à pied, principe qui s'applique notamment de manière particulièrement puissante aujourd'hui avec le principe "winner take all" décliné dans tous les domaines : Microsoft ramasse le marché des système d'exploitation sur les postes clients et des suites bureautiques, Google ramasse le marché des moteurs de rechercher, facebook des réseaus sociaux. James lovelock et son phénomène gaia, qui parmi les premiers décrit une planète et une société interdépendantes, globalisée. Deleuze qui préfigure Internet en rhizome et dénonce la "société du spectacle" Et enfin dans cette catégorie, l'inclassable benjamin, Bernard Werber, qui s'est contenté de réunir à lui seul une somme exceptionnelle de savoirs vulgarisés pour faciliter au plus grand nombre la compréhensions des lois universelles.


ensuite l'école de Palo Alto, animée par Gregory bateson sous l'étiquette d'écologie spirituelle, qui dans les années 40 à 60 joua un rôle de connecteur des théories naissantes de l'information, reliant mathématique, psyché et ethnologie, pour ne citer que trois d'entre elles, et surtout connectant la théorie de l'information de Shannon, favorisant l'émergence de la Programmation Neuro-Linguistique (PNL) qui est aujourd'hui utilisée pour booster une bonne part des disciplinees sociales, du marketing au développement personnel en passant par la gestion des ressource. Il a donné naissance à la Silicon Valley

En filigrane, les livres-pavés d'Heidi & Alvin Toffler, couple dédié à la futurologie par la sociologie et la littérature, qui sortent un livre par décennie qui fait date, du choc du futur en 1970 à la richesse révolutionnaire en 2007; bien qu'ils n'ait jamais fouillé les sujets fondamentaux ni décrit le coeur des enjeux, ils ont magnifiquement su documenter le vaste périmètre d'action de la société de l'information et des changements en cours et ont ainsi contribué à modifier nos idées sur les grands changements de au tournant du millénaire, et à modeler notre vision de l'avenir.

Ensuite, les long beards, fondateurs de la culture informatique, du hardware au software en passant par les réseaux électroniques. Alan Turing qu iconçu le premier ordinateur pendant la 2e guerre mondiale. Doug Engelbarts le premier ergonomiste accompli, qui, comme avant lui Tesla qui découvrit et breveta le radar, le laser, la radio et le courant électrioque alternatif qui nous nourri aujourd'hui, est un génie presque inconnu bien qu'ayant développé à lui seul les mécansimes essentiels que sont le bureau graphique (qui a remplacé les lignes de commande et initié ainsi la science de l'ergonomie de navigation), mais les souris et curseurs, Vinton Cerf co-créateur du protocole TCP/IP en 1970 avec notamment ce dernier les a tous immortalisé par un de peurs pairs, Pierre Vallée, dans son livre l'histoire d'Internet. Tous à leur manière se sont aventurés sur des chemins de traverse, loin de l'image que l'on se fait de l'informatique,

Ensuite, les pères de la citoyenneté numérique, aussi appelé ténors du libre qui ont développé concrètement les projets fondateurs de nos moyens de garantir la liberté d'expression et l'éthique numérique. lesquels Richard stallman, touché par une grace d'un genre nouveau, qui plus que personne a su anticiper les dérives et proposer une solition globale durable qui emporte l'adhésion d'une majorité d'acteur du domaine informatique.


Ensuite les accoucheurs.


ESSAI 0

depuis l'apparition de la parole, du verbe, on peut développer sa conscience depuis l'apparition de l'imprimerie, la trace est formelle depuis la radio, on a gagné en accès instantané et avec la TV, on développe ses compétences d'affalement devant un canapé et d'analyse des images, la culture des scénarios et avec Internet ? c'est des capacité cognitives impressionnantes qui sont modifiées ! pour les comprendre, des codes culturels. Exemple : publier tôt, mettre à jour souvent. Catégoriser de manière informelle, chacun commeil veut, sans chercher à créer un cadre prédéfini. Ou encore encourager la copie, modification et redistribution d'une oeuvre, pour générer ainsi plus (et non plus moins) de revenus! Chercher sur le web ce qui existe au sujet d'un thème avant de publier quoi que ce soit sur ce sujet. Identifier la souurce d'un message AVANt de le traiter. Et ne pas écrire en majuscule, car cela signifie qu'on CRIE !


ESSAI 1 :

On entend de plus en plus parler des dangers de Facebook et des abus de Google pour la vie privée, des risques arnaques, et nouvellement de la cyberintimidation dans les écoles et au travail (menaces, insultes, rumeurs...). Mais ceci ne doit pas occulter le formidable potentiel dinternet pour l'inclusion sociale, pour autant qu'Internet soit utilisé de manière responsable. Pour adapter à la sauce numérique un proverbe que l'on attribue à Beaumarchais : Internet sans conscience n'est que ruine de l'âme.

Aussi, la meilleure manière d'amener à un usage approprié et conscient d'internet, c'est de sensibiliser à la responsabilité individuelle des internautes : comportement respectueux, prévention anti-spam, pratique de la netiquette (codes de conduite sur Internet), développement de chartes éthiques, description des enjeux de société pour favoriser le libre arbitre, encouragement aux liens intergénérationnels (parents « digital migrants » et enfants « digital natifs ») et à la créativité afin d'inclure les populations les plus fragiles dans cette culture numérique. La mission de la fondation Ynternet.org est justement de promouvoir les pratiques durables sur internet.


En Europe, plus de 8 adolescents sur 10 utilisent Facebook plusieurs fois par semaine. Les demandeurs d'emploi, les séniors et les personnes actives ne sont pas en reste dans l'usage quotidien d'Internet. D'autres outils et plate-forme émergent, les possibilités d'échanges sont décuplées, mais les enjeux restent les mêmes : l'éthique, le respect, l'équité des chances, l'inclusion pour tous. Internet devient une arme sociale. Les régions rurales et de montagne sont aussi concernées. C'est dans ce contexte qu'il est nécessaire d'agir vite et bien d'anticiper les problèmes d'abus qui augmentent et sont largement relayés par les médias dans les faits divers, avec souvent (pas toujours!) un manque de recul qui dessert l'objectif de conscientisation et de débat critique. Des stratégies de ce type sont développées dans de nombreux cantons.

ESSAI 2 :

A l'ère du numérique, piloter des projets et des équipes de manière performante n'est pas envisageable rationnellement sans des outils Internet dynamiques, ces fameux outils symbolisés par l'appellation technologies web2.0.

Mais au-delà des technologies, c'est surtout des méthodes innovantes qu'il s'agit de mettre en œuvre. Ce sont les méthodes et non les technologies qui permettent de réussir la transition d'une société industrielle vers une société de la connaissance, que ce soit à l'échelle de notre carrière socioprofessionnelle, de la vie des organismes privés et/ou publics dans lesquels nous œuvrons, de notre région ou de notre planète.

Le concept de web2.0 n'est en fait qu'un arbre cachant la forêt d'un nouveau paradigme aux multiples systèmes de valeurs, codes culturels et mécanismes cognitifs. Car si l'enfance du web des années 1990 a été bercée par des informaticiens, cet écosystème vivant s'est libéré de ses tuteurs dès l'adolescence. Dès les années 2000, le web a montré ses multiples facettes : comme tout vrai leader, pour donner sa pleine mesure il a dû assimiler de multiples sciences techniques, sociales, philosophiques, politiques et artistiques. Le voilà aujourd'hui jeune adulte de 20 ans, mûr à point pour conquérir le monde.

Crowdsourcing, e-réputation, modèles open source, licences libres, communautés de pratiques, knowledge management, veille participative, ces méthodes émergentes sont déjà pratiquées consciemment au quotidien par les leaders de demain matin. Aussi, à priori il fait se lever tôt et se faire mal au crâne pour les adopter. Mais en fait, avec quelques fils rouges dans cette grosse à outil, tout leader avec une riche expérience de vie peut tirer des parallèles avec son histoire personnelle pour tracer son chemin sur les autoroutes de l'information, avec une certaine allégresse. Il s'agit ensuite de s'auto-former avec régularité, dans un état d'esprit aussi ludique que critique, sans se laisser dérouter par les fréquentes interférences tels que les gadgets, le buzz, la cyberdépendance aux jeux...

Dans cette collection d'articles sur l'eCulture, des bases conceptuelles mondialement reconnues mais peu connues et rarement synthétisées seront apportées pour aider les internautes à pratiquer la culture du web2.0 au service d'objectifs à moyen et long terme. Elles permettent de prendre des décisions avisées dans ces environnements informationnels complexes où les nouveaux concepts de bousculent.

Thèmes abordés :

- notions fondamentales à connaître pour contribuer à une position de leader de culture numérique, notamment le crowdsourcing, la coopétition, la culture wiki, la gestion de l'identité numérique et les enjeux de l'e-réputation individuelle et collective qui en découlent, les modèles économiques ouverts, le rôle des médias sociaux et des communautés de pratique, la longue traîne, la neutralité des réseaux, les profils cognitifs des migrants versus numériques, les processus ePortfolios, la méritocratie ou encore l'inclusion socio-numérique.

- techniques opérationnelles clés telles que la gestion des versions, le choix des formats et des licences, le cloud computing, les scénarios de modération, l'ergonomie intuitive, le travail à distance, le community management, le ticketing, le tracking, la dictature bienveillante ou encore la certification par les pairs.

- nouveaux indicateurs à utiliser dans les diagnostics de culture numérique pour soi et les organisations privées ou publiques dans lesquels les participants oeuvrent, afin d'identifier et prioriser les besoins, obstacles et moteurs.

- comment jouer un rôle moteur dans la conception et la mise en oeuvre de stratégie Internet, sans être ni nécessairement chef de projet ni informaticien, pour servir les transitions sociétales en cours, notamment dans la définition des rôles à assurer en interne et ceux à externaliser ?

- rudiments d'éthique numérique, avec un tour d'horizon de santé & motivation (régime de communication, charte), impacte des licences sur la société, éco-responsabilité (Green-IT), vie privée et non-discrimination radicale, usage du web pour le commerce équitable et principes de conclusions de contrats informatiques éthiques pour le développement et la maintenance des outils serveurs et des postes utilisateurs

- réglements informatiques : contributions aux (et constructions de) politiques de gestion des outils numériques et des principes de travail à l'ère numérique (chartes, formation continue, gestion des risques, travail à distance pour les employés...).

Objectifs de l'ouvrage : Développer les connaissances des fondements de la culture numérique, aux niveaux techniques, social, philosophique, politique et artistique. Développer les compétences de community manager et de gestion d'identités numériques en augmentant sa réputation sur la webosphère Développer les compétences pour poser un diagnostic de base en matière de culture numérique sur soi -même, ses collaborateurs, partenaires et fournisseurs Acquérir les compétences nécessaires à l'amélioration des stratégies de communication interne et externe aux organisations