Motivation de l'initiateur d'Ecopol : Différence entre versions
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| − | '' | + | ''«D'aussi loin que je me souvienne, dès l'âge de deux ou trois ans, je pensais, dans mon lit, à comment pouvoir vivre dans un endroit où les choses seraient "meilleures". J'imaginais comment aborder les questions différemment au niveau de la police, de la justice, de la médecine, de la spiritualité. Progressivement, dès l'âge de 8-10 ans, j'ai découvert ce qu'était le commerce, la création, l'action sociale... Très jeune, j'ai pu faire concrètement des expériences en vivant dans différents contextes sociaux, en Suisse et en France, en découvrant l'Egypte, en voyageant et en travaillant dès l'âge de 15 ans, et en me formant de manière autodidacte. Plus tard, j'ai voyagé et travaillé en Asie du Sud, en Europe de l'Est, en Afrique de l'Ouest, en Amérique Latine, aux USA, toujours en gardant quelques gros doigts de pied en Suisse. |
| − | '' | + | ''«De ce fait, j'ai pu réunir progressivement de nombreuses connaissances relatives à des pratiques durables. Je les mettais, toutes plus inspirantes les unes que les autres, dans ma besace de méthodes, d'idées et de manières de faire. A partir de mes vingt ans, des mentors et des lectures de magazines spécialisés m'ont progressivement aidé à canaliser et à clarifier ce répertoire de pratiques pour m'orienter vers une écologie communautaire. J'ai aussi pu découvrir le réseau des écovillages, des communautés intentionnelles, le monde des logiciels libres et, plus largement, l'esprit d'entreprise sociale qui m'anime à présent. C'est pour cela que je me sens à la fois sans spécialisation particulière, mais avec une connaissance globale et diversifiée des méthodes durables. |
| − | '' | + | ''«J'ai aussi eu la chance de développer certains projets artistiques, dans la photographie, le cinéma et la chanson ainsi que l'écriture. Ils m'ont permis de m'épanouir et de faire mûrir tous ces concepts. Ce sont ces petits morceaux de chemins de vie qui vous sont partagés dans cet ouvrage, de la manière la plus digeste possible. Puissions-nous le faire évoluer ensemble pour, qu'à l'image d'Ecopol, il devienne, de plus en plus, le projet d'un groupe. Car si j'en suis l'initiateur et le vecteur, dès le début et jusqu'au bout, ce sera le produit d'une intelligence collective.»'' |
Théo Bondolfi | Théo Bondolfi | ||
Version du 10 janvier 2013 à 18:24
«D'aussi loin que je me souvienne, dès l'âge de deux ou trois ans, je pensais, dans mon lit, à comment pouvoir vivre dans un endroit où les choses seraient "meilleures". J'imaginais comment aborder les questions différemment au niveau de la police, de la justice, de la médecine, de la spiritualité. Progressivement, dès l'âge de 8-10 ans, j'ai découvert ce qu'était le commerce, la création, l'action sociale... Très jeune, j'ai pu faire concrètement des expériences en vivant dans différents contextes sociaux, en Suisse et en France, en découvrant l'Egypte, en voyageant et en travaillant dès l'âge de 15 ans, et en me formant de manière autodidacte. Plus tard, j'ai voyagé et travaillé en Asie du Sud, en Europe de l'Est, en Afrique de l'Ouest, en Amérique Latine, aux USA, toujours en gardant quelques gros doigts de pied en Suisse.
«De ce fait, j'ai pu réunir progressivement de nombreuses connaissances relatives à des pratiques durables. Je les mettais, toutes plus inspirantes les unes que les autres, dans ma besace de méthodes, d'idées et de manières de faire. A partir de mes vingt ans, des mentors et des lectures de magazines spécialisés m'ont progressivement aidé à canaliser et à clarifier ce répertoire de pratiques pour m'orienter vers une écologie communautaire. J'ai aussi pu découvrir le réseau des écovillages, des communautés intentionnelles, le monde des logiciels libres et, plus largement, l'esprit d'entreprise sociale qui m'anime à présent. C'est pour cela que je me sens à la fois sans spécialisation particulière, mais avec une connaissance globale et diversifiée des méthodes durables.
«J'ai aussi eu la chance de développer certains projets artistiques, dans la photographie, le cinéma et la chanson ainsi que l'écriture. Ils m'ont permis de m'épanouir et de faire mûrir tous ces concepts. Ce sont ces petits morceaux de chemins de vie qui vous sont partagés dans cet ouvrage, de la manière la plus digeste possible. Puissions-nous le faire évoluer ensemble pour, qu'à l'image d'Ecopol, il devienne, de plus en plus, le projet d'un groupe. Car si j'en suis l'initiateur et le vecteur, dès le début et jusqu'au bout, ce sera le produit d'une intelligence collective.»
Théo Bondolfi
