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À vous mille et un mercis, et un "abraço" brésilien géant :
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A tous ceux qui ne liront pas ce livre en entier, qui ne le liront même pas du tout, mais qui pratiquent l'écologie communautaire au quotidien, souvent sans la nommer, simplement parce qu'ils sont bienveillants, qu'ils refusent les jeux de pouvoir, qu'ils disent tout haut ce qu'il pensent, mais ne disent pas grand-chose car ils pensent que c'est mieux de rester simple et modeste. Vous m'inspirez, merci.
  
ma femme Lucelia Ferreira qui me donne tant de vitalité,
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A tous ceux qui souffrent d'injustice mais sourient à leur prochain, gardent leur souffrance pour eux et disent merci à la vie au quotidien, car ils réussissent à prendre la vie du bon côté.
  
le premier donateur Sylvain Agassis,  
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A la part de nous-mêmes qui espère toujours un monde meilleur, et y contribue à sa mesure.
  
Nora Primus, qui a  amélioré les textes,  
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A vous tous qui m'avez connu, reconnu et soutenu pour donner vie à Smala et ce label Ecopol, merci de votre confiance.
  
Céline Brichet à la saisie et mise en page, Séverine Chave en renfort,
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Ce livre est une étape. Il vous est dédié.
  
Monique et Dario mes parents pour les cultures qu'ils m'ont transmises,
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À vous mille et un mercis, et un « abraço » brésilien géant à : Pryska Ducoeurjoly, qui a tout relu, réécrit, clarifié, finalisé ; Lucélia Ferreira Bondolfi, épouse en tout, les frères Feissli Vincent 1.0 et Fabien 2.0, 10 ans de coopération super-efficace ; Nora Primus, Céline Brichet et Séverine Chave, dans les premières étapes du livre ; Sylvain Agassis, premier donateur ; Marie-Jane Berchten, alliée dès les débuts, pour le support précieux ; Mariette Glauser marraine porte-bonheur d'Ecopol et femme du monde ; Johanna Raphael qui m'a ouvert les chemins de Findhorn et Auroville ; Edna Ricardo et Max Freitas, piliers de la branche brésilienne d'Ecopol à Bahia ; et vous qui, comme des colibris, avez contribué à cette aventure collective tout doucement, sans faire de bruit, avez apporté vos touches : Mohammed Ait Lahcen, Alexandre Frauenknecht, Julien Poulain, Bernard Bosson, Miguel Alarcon, Raphaël Rousseau, Gian Pozzy, Henry Rosset, Laurent Bersier, Yvette Jaggi et Charles-Henri Favrod. A vous aussi, alaMA, Opahl, Eva et Jenni.
  
Marie-Jane Berchten, alliée dès le début, pour le support précieux en tout,
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Merci enfin à Coline Serreau, Richard Stallman, Bernard Werber et Patrice Van Eersel, dont la créativité et la pertinence m'ont tant inspiré.
 
 
Mariette Glauser, ma marraine porte bonheur, et Johanna qui a si foi en la vie,
 
 
 
Edna Ricardo, pilier du projet à Bahia, toujours pleine de forces dans l'adversité
 
 
 
et vous qui avez apporté vos touches à la construction de cette aventure collective
 
 
 
===Encart===
 
 
 
Texte fondateur rédigé par Edna Ricardo comme lettre de motivation comme pionnière d'Ecopol.
 
28 mars 2008, Savaldor de Bahia. Les nécessités d'un quartier:
 
 
 
C'est dans le quartier dit du vieil ingénieur de la fédération que j'habite. Un quartiers pauvre, très peuplé et qui progresse peu. C'est la réalité de tant de quartiers de la périphérie de Salvador. On a besoin que les choses s'améliorent. Impossible d'imaginer pire éducation publique, vu que les problèmes de sécurité ont même atteint l'école : les élèves menacent leurs propres professeurs, n'ont plus aucun respect. La violence est partout  dans les rues, les points de drogues, les files d'attente. Les infrastructures de base aussi sont précaires. Les égoûts sont à ciel ouvert. Quand on actionne les autorités il leur faut deux à trois semaines pour résoudre le problème. Quand il pleut c'est pire parce que les débordements inondent pratiquement toutes les rues et on retourne à la case de départ.
 
 
 
Les revenus de ce quartier sont très faibles, la majorités des familles survivent avec à peine un salaire minimum, sans choisir de profession. Les adolescents se retrouvent vite parents ou se tournent vers les organisations criminelles. Les mères comme moi font des ménages, lavent et repassent les habits, et ne réussissent pas à trouver un poste fixe. Nous devons trouver de meilleures manières de réduire ou résoudre ces problèmes, pour aller vers un futur positif pour la population, principalement pour nos enfants. Déjà qu'on n'a pas de crèche pour les garder pendant qu'on travaille, ni de poste médical au service des habitants du quartier. Les adolescents n'ont pas de lieu pour faire du sport ni se divertir.
 

Version actuelle datée du 25 janvier 2014 à 15:43

A tous ceux qui ne liront pas ce livre en entier, qui ne le liront même pas du tout, mais qui pratiquent l'écologie communautaire au quotidien, souvent sans la nommer, simplement parce qu'ils sont bienveillants, qu'ils refusent les jeux de pouvoir, qu'ils disent tout haut ce qu'il pensent, mais ne disent pas grand-chose car ils pensent que c'est mieux de rester simple et modeste. Vous m'inspirez, merci.

A tous ceux qui souffrent d'injustice mais sourient à leur prochain, gardent leur souffrance pour eux et disent merci à la vie au quotidien, car ils réussissent à prendre la vie du bon côté.

A la part de nous-mêmes qui espère toujours un monde meilleur, et y contribue à sa mesure.

A vous tous qui m'avez connu, reconnu et soutenu pour donner vie à Smala et ce label Ecopol, merci de votre confiance.

Ce livre est une étape. Il vous est dédié.

À vous mille et un mercis, et un « abraço » brésilien géant à : Pryska Ducoeurjoly, qui a tout relu, réécrit, clarifié, finalisé ; Lucélia Ferreira Bondolfi, épouse en tout, les frères Feissli Vincent 1.0 et Fabien 2.0, 10 ans de coopération super-efficace ; Nora Primus, Céline Brichet et Séverine Chave, dans les premières étapes du livre ; Sylvain Agassis, premier donateur ; Marie-Jane Berchten, alliée dès les débuts, pour le support précieux ; Mariette Glauser marraine porte-bonheur d'Ecopol et femme du monde ; Johanna Raphael qui m'a ouvert les chemins de Findhorn et Auroville ; Edna Ricardo et Max Freitas, piliers de la branche brésilienne d'Ecopol à Bahia ; et vous qui, comme des colibris, avez contribué à cette aventure collective tout doucement, sans faire de bruit, avez apporté vos touches : Mohammed Ait Lahcen, Alexandre Frauenknecht, Julien Poulain, Bernard Bosson, Miguel Alarcon, Raphaël Rousseau, Gian Pozzy, Henry Rosset, Laurent Bersier, Yvette Jaggi et Charles-Henri Favrod. A vous aussi, alaMA, Opahl, Eva et Jenni.

Merci enfin à Coline Serreau, Richard Stallman, Bernard Werber et Patrice Van Eersel, dont la créativité et la pertinence m'ont tant inspiré.