Discussion:Lessig et la culture libre à l'ONU
Remarques J-H Addor
Créons ensemble un monde meilleur
Le changement d’importance du propos et de style s’explique mal et ne se comprend pas. Comme les auteurs dramatiques se remarquent par leur unité de lieu et de temps, l’auteur d’un livre s’illustre par la cohérence de son style. Les sous-chapitres précédents apportent des explications, des références, ambitionnent leur compréhension,… et soudain, on débouche sur la narration (à la 1ère personne du pluriel ou du singulier) de la participation d’Ynternet au Sommet mondial pour la société de l’information. On peut arriver à des résultats moins égocentriques (et moins « boy-scout » - nous, notre groupe, on a fait ça…) et plus pertinents en travaillant l’information différemment (car elle est intéressante !). Dessin de Mix & Remix : enfin (bis) une image ! Mais trop petite.
Indépendance du cyberespace – Anecdote Causby
Le cas des Causby est intéressant à plus d’un titre (notion de propriété du terrain, de ses limites, possibilités de recours,… tout cela pour des poulets qui se suicident,…) – en même temps qu’il apporte une démonstration d’une certaine schizophrénie. Est-ce justifié de lui donner une telle importance (2 pages +), alors que d’autres sujets et thèmes du même chapitre sont survolés à grande vitesse ? J’y vois une disproportion certaine. Ne serait-ce pas préférable de condenser les propos de Lauwrence Lessig, de ne garder que ce qui est effectivement informatif et important, pour maintenir sa cohérence à l’ouvrage.
Version en ligne
Reste à faire
En complément : mettre Lessig dans les ténors de la culture libre