Introduction générale : Différence entre versions

De Wiki ECOPOL
 
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Eléments à aborder :
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=== Prenez une page au hasard et hop ! C'est parti ! ===
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L'Internet est composé de nombreux petits morceaux, comme des pièces de puzzle. Ce livre aussi. Pour aimer cet ouvrage, mieux vaut le voir comme une collection de petits savoirs différents. De ceux qui peuvent toucher tant le cœur que l'esprit, tant la raison que la passion.
  
- changements cognitifs
+
Les articles peuvent sembler sauter du coq à l'âne. Ils mélangent connaissances de bases et avancées, attisant la curiosité. Ils offrent un tour d'horizon qui peut être utilisé dans la vie pratique. Comme pense-bête. Comme solution dans des moments délicats. Comme soupape de décompression après une rude journée ou comme divertissement dans le métro. Il existe tout de même une progression logique du premier au dernier chapitre.
  
- quêtes de repères
+
Quand on parle de politique, on fait référence à la vie de la cité. Aussi, le terme « netoyenneté », qui donne ''netizenship'' en anglais, évoque la « vie de la cité à l'ère du numérique ». Le terme « netizen », pour citoyens du Net est utilisé dès la fin des années 1990 dans diverses études. Le mot politique est trop souvent associé aux affaires politiciennes, notamment de malversations, qui ternissent l'image des élus et perturbe le bon fonctionnement des institutions. Or, on peut aborder sous l'angle citoyen tout acte de relation sociale, pas uniquement le fait de voter. Voilà pourquoi ''Citoyens du Net'' explique les coulisses du monde numérique. Il s'adresse à tous ceux qui utilisent l'Internet au quotidien et souhaitent mieux comprendre le fonctionnement social de ce nouvel univers. Il synthétise et vulgarise les connaissances disponibles, afin de fournir une base culturelle générale. Ce manuel a vocation à être encore d'actualité dans vingt ans. Étant le fruit d'une expérience collective, toutes les contributions sont les bienvenues. Comme sur ''Wikipedia'', vous pouvez donc contribuer à l'améliorer, puis le diffuser de manières diverses, comme décrit dans ce premier chapitre.
  
- apprentis sorciers de la science
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C'est un manuel de vie, et non de survie. Il peut être utile au travail, en formation, en famille.
  
- science sans conscience, éveil des consciences
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=== Sept ans pour digérer ===
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Débuter sur l'Internet, c'est risquer de céder au stress. Alors que faire ? Trembler face aux arnaqueurs et à l'infobésité qui nous guettent ? Tout larguer et retourner à l'age des cavernes ? Attendre d'avoir fait inconsciemment plein de bêtises virtuelles pour constater les dégâts, puis crier au scandale et prendre les « mesures qui s'imposent » ? Ou encore rester dans l'inertie de son cocon d'amis sur un réseau social, où au moins on peut parler de trucs légers, futiles, rigoler un bon coup sans se prendre la tête à analyser l'impact de ses actes ?
  
- digital natives
+
Dans ce livre, nous proposons une autre option : aborder les enjeux fondamentaux le plus simplement possible, avec un langage abordable, des anecdotes, des métaphores, des illustrations, des quiz, des conseils pratiques. Faire rire et pleurer sur les pratiques des citoyens du Net. Et un parti pris : ne pas céder à la tentation de se focaliser sur les phénomènes de mode comme Facebook et Google. Tentons plutôt d'expliquer les aspects fondamentaux et invariables qui seront encore valables dans dix ans, vingt ans, voire plus...
  
- inspirations de la culture libre
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Nous vous conseillons aussi d'être patients et indulgents envers vous-mêmes, et de vous laisser plutôt sept ans que sept semaines pour avoir digéré ces notions. Ce serait normal, nous sommes face à une transition à faire en douceur, un long voyage intérieur.
  
- distinction éthique (libre), innovation (open) et domination (privative) comme fil rouge
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=== L'origine des idées  ===
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Si vous trouvez dans ce livre des concepts nouveaux, innovants, ils sont en fait tous le produit d'une formidable intelligence collective. Depuis 25 ans, le mouvement de la culture libre a mis en valeur un principe fondamental : celui de la '''découverte plutôt qu'invention.''' Lorsque que l'on souhaite trouver l'origine d'une idée, d'un mode de fonctionnement, d'un processus, d'une pratique, d'une manière de faire, d'un art, on cherche ceux qui ont inspiré ceux qui ont inspiré, et ainsi de suite. On arrive souvent à ce constat : « Celui qui a inventé tout ça, c'était l'homme des cavernes ! » Il est plus sain, pour le cœur et l'esprit, de considérer que nous ne sommes à l'origine de rien, que nous les humains, et toutes formes de vie sur Terre, ne sommes que le produit et le fruit d'un processus, d'une dynamique. Nous négocions avec d'autres formes de vies et empruntons des codes, des informations, des modes d'emploi, des processus, pour les associer et en faire quelque chose de légèrement modifié.
  
- livre "les pieds nus"
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=== Sources, notes et références : sur la partie Web du livre ===
 
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Ainsi dans ce livre, il n'est pas question de nouveautés, de créations, mais plutôt d'une compilation de dynamiques émergentes, d'anciens et de nouveaux paradigmes, d'innovation à partir de découvertes anciennes. Ces petites nuances sont cependant fondamentales. Les sources, notes et références sont disponibles sur la version Internet de l'ouvrage, à l'adresse http://www.netizen3.org. Vous pouvez contribuer à les compléter et mettre à jour pour les prochaines versions, car c'est un site Internet de type participatif (wiki)...
- photocopier possible
 
 
 
- etc, à compléter
 
 
 
ESSAI 0
 
 
 
depuis l'apparition de la parole, du verbe, on peut développer sa conscience
 
depuis l'apparition de l'imprimerie, la trace est formelle
 
depuis la radio, on a gagné en accès instantané
 
et avec la TV, on développe ses compétences d'affalement devant un canapé et d'analyse des images, la culture des scénarios
 
et avec Internet ? c'est des capacité cognitives impressionnantes qui sont modifiées !
 
 
 
 
 
ESSAI 1 :  
 
 
 
On entend de plus en plus parler des dangers de Facebook et des abus de Google pour la vie privée, des risques arnaques, et nouvellement de la cyberintimidation dans les écoles et au travail (menaces, insultes, rumeurs...). Mais ceci ne doit pas occulter le formidable potentiel d''internet pour l'inclusion sociale, pour autant qu'Internet soit utilisé de manière responsable. Pour adapter à la sauce numérique un proverbe que l'on attribue à Beaumarchais : Internet sans conscience n'est que ruine de l'âme.
 
 
 
Aussi, la meilleure manière d'amener à un usage approprié et conscient d'internet, c'est de sensibiliser à
 
la responsabilité individuelle des internautes : comportement respectueux, prévention anti-spam,
 
pratique de la netiquette (codes de conduite sur Internet), développement de chartes éthiques,
 
description des enjeux de société pour favoriser le libre arbitre, encouragement aux liens
 
intergénérationnels (parents « digital migrants » et enfants « digital natifs ») et à la créativité afin
 
d'inclure les populations les plus fragiles dans cette culture numérique. La mission de la fondation
 
Ynternet.org est justement de promouvoir les pratiques durables sur internet.
 
 
 
 
 
En Europe, plus de 8 adolescents sur 10 utilisent Facebook plusieurs fois par semaine.
 
Les demandeurs d'emploi, les séniors et les personnes actives ne sont pas en reste dans l'usage quotidien d'Internet. D'autres outils et plate-forme émergent, les possibilités d'échanges sont décuplées, mais les enjeux restent les mêmes : l'éthique, le respect, l'équité des
 
chances, l'inclusion pour tous. Internet devient une arme sociale. Les régions rurales et de montagne
 
sont aussi concernées.
 
C'est dans ce contexte qu'il est nécessaire d'agir vite et bien d'anticiper les problèmes d'abus qui augmentent et sont largement relayés
 
par les médias dans les faits divers, avec souvent (pas toujours!) un manque de recul qui dessert
 
l'objectif de conscientisation et de débat critique. Des stratégies de ce type sont développées dans de
 
nombreux cantons.
 
 
 
ESSAI 2 :
 
 
 
A l'ère du numérique, piloter des projets et des équipes de manière performante  n'est pas envisageable rationnellement sans des outils Internet dynamiques, ces fameux outils symbolisés par l'appellation technologies web2.0.
 
 
 
Mais au-delà des technologies, c'est surtout des méthodes innovantes qu'il s'agit de mettre en œuvre. Ce sont les méthodes et non les technologies qui permettent de réussir la transition d'une société industrielle vers une société de la connaissance, que ce soit à l'échelle de notre carrière socioprofessionnelle, de la vie des organismes privés et/ou publics dans lesquels nous œuvrons, de notre région ou de notre planète.
 
 
 
Le concept de web2.0 n'est en fait qu'un arbre cachant la forêt d'un nouveau paradigme aux multiples systèmes de valeurs, codes culturels et mécanismes cognitifs. Car si l'enfance du web des années 1990 a été bercée par des informaticiens, cet écosystème vivant s'est libéré de ses tuteurs dès l'adolescence. Dès les années 2000, le web a montré ses multiples facettes : comme tout vrai leader, pour donner sa pleine mesure il a dû assimiler de multiples sciences techniques, sociales, philosophiques, politiques et artistiques. Le voilà aujourd'hui jeune adulte de 20 ans, mûr à point pour conquérir le monde.
 
 
 
Crowdsourcing, e-réputation, modèles open source, licences libres, communautés de pratiques, knowledge management, veille participative, ces méthodes émergentes sont déjà pratiquées consciemment au quotidien par les leaders de demain matin. Aussi, à priori il fait se lever tôt et se faire mal au crâne pour les adopter. Mais en fait, avec quelques fils rouges dans cette grosse à outil, tout leader avec une riche expérience de vie peut tirer des parallèles avec son histoire personnelle pour tracer son chemin sur les autoroutes de l'information, avec une certaine allégresse. Il s'agit ensuite de s'auto-former avec régularité, dans un état d'esprit aussi ludique que critique, sans se laisser dérouter par les fréquentes interférences tels que les gadgets, le buzz, la cyberdépendance aux jeux...
 
 
 
Dans cette collection d'articles sur l'eCulture, des bases conceptuelles mondialement reconnues mais peu connues et rarement synthétisées seront apportées pour aider les internautes à pratiquer la culture du web2.0 au service d'objectifs à moyen et long terme.  
 
Elles permettent de prendre des décisions avisées dans ces environnements informationnels complexes où les nouveaux concepts de bousculent.  
 
 
 
Thèmes abordés :
 
 
 
-  notions fondamentales à connaître pour contribuer à une position de leader de culture numérique, notamment le crowdsourcing, la coopétition, la culture wiki, la gestion de l'identité numérique et les enjeux de l'e-réputation individuelle et collective qui en découlent, les modèles économiques ouverts, le rôle des médias sociaux et des communautés de pratique, la longue traîne, la neutralité des réseaux, les profils cognitifs des migrants versus numériques, les processus ePortfolios, la méritocratie ou encore l'inclusion socio-numérique.
 
 
 
- techniques opérationnelles clés telles que la gestion des versions, le choix des formats et des licences,  le cloud computing, les scénarios de modération, l'ergonomie intuitive, le travail à distance, le community management, le ticketing, le tracking, la dictature bienveillante ou encore la certification par les pairs.
 
 
 
- nouveaux indicateurs à utiliser dans les diagnostics de culture numérique pour soi et les organisations privées ou publiques dans lesquels les participants oeuvrent, afin d'identifier et prioriser les besoins, obstacles et moteurs.
 
 
 
- comment jouer un rôle moteur dans la conception et la mise en oeuvre de stratégie Internet, sans être ni nécessairement chef de projet ni informaticien, pour servir les transitions sociétales en cours, notamment dans la définition des rôles à assurer en interne et ceux à externaliser ?
 
 
 
- rudiments d'éthique numérique, avec un tour d'horizon de santé & motivation (régime de communication, charte), impacte des licences sur la société, éco-responsabilité (Green-IT), vie privée et non-discrimination radicale, usage du web pour le commerce équitable et principes de conclusions de contrats informatiques éthiques pour le développement et la maintenance des outils serveurs et des postes utilisateurs
 
 
 
- réglements informatiques : contributions aux (et constructions de) politiques de gestion des outils numériques et des principes de travail à l'ère numérique (chartes, formation continue, gestion des risques, travail à distance pour les employés...).
 
 
 
Objectifs de l'ouvrage :
 
Développer les connaissances des fondements de la culture numérique,  aux niveaux techniques, social, philosophique, politique et artistique.
 
Développer les compétences de community manager et de gestion d'identités numériques en augmentant sa réputation sur la webosphère
 
Développer les compétences pour poser un diagnostic de base en matière de culture numérique sur soi -même, ses collaborateurs, partenaires et fournisseurs
 
Acquérir les compétences nécessaires à l'amélioration des stratégies de communication interne et externe aux organisations
 

Version actuelle datée du 1 août 2012 à 13:56

Prenez une page au hasard et hop ! C'est parti !

L'Internet est composé de nombreux petits morceaux, comme des pièces de puzzle. Ce livre aussi. Pour aimer cet ouvrage, mieux vaut le voir comme une collection de petits savoirs différents. De ceux qui peuvent toucher tant le cœur que l'esprit, tant la raison que la passion.

Les articles peuvent sembler sauter du coq à l'âne. Ils mélangent connaissances de bases et avancées, attisant la curiosité. Ils offrent un tour d'horizon qui peut être utilisé dans la vie pratique. Comme pense-bête. Comme solution dans des moments délicats. Comme soupape de décompression après une rude journée ou comme divertissement dans le métro. Il existe tout de même une progression logique du premier au dernier chapitre.

Quand on parle de politique, on fait référence à la vie de la cité. Aussi, le terme « netoyenneté », qui donne netizenship en anglais, évoque la « vie de la cité à l'ère du numérique ». Le terme « netizen », pour citoyens du Net est utilisé dès la fin des années 1990 dans diverses études. Le mot politique est trop souvent associé aux affaires politiciennes, notamment de malversations, qui ternissent l'image des élus et perturbe le bon fonctionnement des institutions. Or, on peut aborder sous l'angle citoyen tout acte de relation sociale, pas uniquement le fait de voter. Voilà pourquoi Citoyens du Net explique les coulisses du monde numérique. Il s'adresse à tous ceux qui utilisent l'Internet au quotidien et souhaitent mieux comprendre le fonctionnement social de ce nouvel univers. Il synthétise et vulgarise les connaissances disponibles, afin de fournir une base culturelle générale. Ce manuel a vocation à être encore d'actualité dans vingt ans. Étant le fruit d'une expérience collective, toutes les contributions sont les bienvenues. Comme sur Wikipedia, vous pouvez donc contribuer à l'améliorer, puis le diffuser de manières diverses, comme décrit dans ce premier chapitre.

C'est un manuel de vie, et non de survie. Il peut être utile au travail, en formation, en famille.

Sept ans pour digérer

Débuter sur l'Internet, c'est risquer de céder au stress. Alors que faire ? Trembler face aux arnaqueurs et à l'infobésité qui nous guettent ? Tout larguer et retourner à l'age des cavernes ? Attendre d'avoir fait inconsciemment plein de bêtises virtuelles pour constater les dégâts, puis crier au scandale et prendre les « mesures qui s'imposent » ? Ou encore rester dans l'inertie de son cocon d'amis sur un réseau social, où au moins on peut parler de trucs légers, futiles, rigoler un bon coup sans se prendre la tête à analyser l'impact de ses actes ?

Dans ce livre, nous proposons une autre option : aborder les enjeux fondamentaux le plus simplement possible, avec un langage abordable, des anecdotes, des métaphores, des illustrations, des quiz, des conseils pratiques. Faire rire et pleurer sur les pratiques des citoyens du Net. Et un parti pris : ne pas céder à la tentation de se focaliser sur les phénomènes de mode comme Facebook et Google. Tentons plutôt d'expliquer les aspects fondamentaux et invariables qui seront encore valables dans dix ans, vingt ans, voire plus...

Nous vous conseillons aussi d'être patients et indulgents envers vous-mêmes, et de vous laisser plutôt sept ans que sept semaines pour avoir digéré ces notions. Ce serait normal, nous sommes face à une transition à faire en douceur, un long voyage intérieur.

L'origine des idées

Si vous trouvez dans ce livre des concepts nouveaux, innovants, ils sont en fait tous le produit d'une formidable intelligence collective. Depuis 25 ans, le mouvement de la culture libre a mis en valeur un principe fondamental : celui de la découverte plutôt qu'invention. Lorsque que l'on souhaite trouver l'origine d'une idée, d'un mode de fonctionnement, d'un processus, d'une pratique, d'une manière de faire, d'un art, on cherche ceux qui ont inspiré ceux qui ont inspiré, et ainsi de suite. On arrive souvent à ce constat : « Celui qui a inventé tout ça, c'était l'homme des cavernes ! » Il est plus sain, pour le cœur et l'esprit, de considérer que nous ne sommes à l'origine de rien, que nous les humains, et toutes formes de vie sur Terre, ne sommes que le produit et le fruit d'un processus, d'une dynamique. Nous négocions avec d'autres formes de vies et empruntons des codes, des informations, des modes d'emploi, des processus, pour les associer et en faire quelque chose de légèrement modifié.

Sources, notes et références : sur la partie Web du livre

Ainsi dans ce livre, il n'est pas question de nouveautés, de créations, mais plutôt d'une compilation de dynamiques émergentes, d'anciens et de nouveaux paradigmes, d'innovation à partir de découvertes anciennes. Ces petites nuances sont cependant fondamentales. Les sources, notes et références sont disponibles sur la version Internet de l'ouvrage, à l'adresse http://www.netizen3.org. Vous pouvez contribuer à les compléter et mettre à jour pour les prochaines versions, car c'est un site Internet de type participatif (wiki)...