Quelles sont les sources d'inspirations de Smala ?

éco-conscience, Bernard Werber, Nexus, La Revue Durable, La Belle Verte, le Livre de l'Essentiel

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Nos autres sources d’inspiration sont de natures très variées ! Elles regroupent : des livres, comme ceux de Bernard Werber, ou le Livre de l’Essentiel ; des films, comme La belle verte, Surplus ; ou encore des revues et magazines comme L’Écologiste, Actuel à la fin des années 80, L’Autre journal au début des années 90, Nouvelles Clés dès ses débuts dans les années 90, Nexus, La Revue Durable, et enfin de nombreuses publications scientifiques.

Toutes ces références sont autant de bases pour que les critères de qualité d'Ecopol puissent évoluer de manière participative. Un point important à préciser, c'est qu’on a réellement testé la plupart des points décrits dans l'état des lieux de ce livre : on a visité les écovillages, mais aussi pratiqué le Do It Yourself, co-créé ou simplement incubé de nombreuses (micro-)entreprises sociales, organisé des voyages pour visiter des écoquartiers, pratiqué la citoyenneté numérique, etc... Donc Ecopol, c'est de l'expérience vécue.

Enfin, rester ouvert à de nombreuses sources d’inspiration, ça nous a amené à nous intéresser à plein d’autres sources que celles du mainstream. Ça nous a amené à gérer des informations complexes, et à toujours rester critiques face aux informations que nous rencontrions. Au fond l’initiative Ecopol part aussi de là, de notre côté autodidacte. Et ce qu’on pense pouvoir apporter, c’est justement de mettre le doigt sur des sources inspirantes qui manquent encore souvent d’évaluation disons plus “scientifiques”. Par cette démarche, on contribue aussi à inspirer le monde académique, en proposant des idées transversales, multidisciplinaires, et basées sur la pratique.

Projet en cours : un répertoire de films inspirants

Sur 2013-2014, nous travaillons, entièrement bénévolement pour l’instant, sur la réalisation d’un petit projet, pour appuyer le label Ecopol. C'est une base de données de films documentaires et de fictions sur l'éco-conscience. Elle est divisé en cinq parties :

- les films cultes de l'écologie communautaire (comme La Belle Verte ou Surplus)

- les films qui dénoncent, démontrent et décryptent les enjeux complexes de société en les présentant sous une forme vulgarisée et compréhensible pour un large public. Ils sont là pour faire le lien entre les croyances dominantes et certaines réalités scientifiques peu connues.

- les propositions globales d'écovie, écohabitat, écoconstruction, écovillages, par exemple les maisons earthship, un mode de construction très efficace à base de pneus recyclés. C'est la prolongation des actes 2 et 3 de ce livre.

- les initiatives de nos partenaires régionaux et internationaux, montrant la vitalité des possibilités hors du regard médiatique. Des initiatives qui ne sont pas très connues car elles ne sont ni scandaleuses, ni publicitaires, ni industrielles, mais elles fonctionnent bien à petite échelle et durablement, tout doucement, sans faire de bruit.

- les films modes d'emplois très concrets, dans tous les domaines de l'écologie communautaire, qui prolongent le travail de la fondation Ekopedia : comment construire un lombricomposteur dans un tiroir de sa cuisine, comment animer une séance de groupe selon les principes de la sociocratie...

Pour visionner les premiers films sélectionnés, et rajouter librement ceux qui vous ont touché, c’est par ici : https://groups.diigo.com/group/ecopol/content/tag/video