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Dans les médias, on parle tous les jours des problèmes de l'environnement. Face à cela, partout sur terre, des initiatives écologiques sont lancées. Par exemple une entreprise de construction décide d'innover et de construire un écoquartier. Elle choisit des matériaux naturels, réduit la consommation d'énergie et par la même la charge de l'homme sur la planète. Superbe! Dans cet écoquartier, plusieurs personnes dont le métier est de spéculer en bourse vont aussi s'installer même si leur activité est controversée. Eux aussi ont le droit et le devoir moral de vivre dans un lieu respectueux de l'environnement et à faible consommation d'énergie. Mais cette initiative rencontre des limites; les habitants veulent conserver certaines habitudes confortables qu'ils ont prises: chacun veut garder sa voiture, sa télévision, son grand salon pour recevoir des amis et, s'ils ont les moyens, leur deuxième maison pour les vacances. L'écoquartier est donc un pas en avant mais est-ce une solution suffisante pour répondre aux urgences actuelles? Cette construction écologique est-elle suffisante pour nettoyer la planète de la pollution provoquée par l'homme? Non. Mais ailleurs un syndicat lutte pour de meilleures conditions de travail des salariés et obtiennent de superbes résultats. C'est un impact essentiel pour réconcilier les classes sociales dans la société et construire ensemble un monde meilleur. Néanmoins, ces salariés habitent dans des maisons en préfabriqué qui consomment beaucoup de chauffage car elles sont mal isolées, roulent dans des voitures à haute consommation et n'ont pas la culture des soins par les thérapies douces. Par contre, un groupe de médecins en thérapie douce ouvre un centre de formation pour transmettre leur savoir-faire aux jeunes générations. Un merveilleux projet essentiel pour réduire la production de médicaments industriels et de permettre aux gens de se soigner à la racine en anticipant et en utilisant les plantes naturelles pour être en bonne santé. Cette équipe va chercher les anciens savoir-faire sur les plantes et les mettent à jour pour qu'elles soient compréhensibles pour un large public. C'est une action merveilleuse, néanmoins, ils ne savent pas comment gérer leur employés qui pour certains sont payés au noir sans sécurité sociale.  
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L'écologie est aujourd'hui abordé partout et tout le temps. Pour certains c'est une source d'inquiétude, de stress, d'angoisse, un problème à résoudre. Pour d'autres c'est un nouveau secteur économique: écoquartier, produits avec labellisation écologique, vêtements biologiques...
  
Ces exemples sont exagérés car dans la pratique il est bien sûr possible de conjuguer respect de l'environnement, sécurité sociale et économie non spéculative. Alors pourquoi est-ce que de telles initiatives globales n'émergent pas plus largement un peu partout sur terre? Parce qu'il est difficile de respecter tous ces critères et que même si chacun fait sa petite part, le temps pour assembler toutes les pièces du puzzle est trop long par rapport à l'urgence des défis planétaires. Nous ne pouvons pas attendre que l'eau et l'air soient entièrement viciés pour retrousser nos manches et adopter des pratiques globalement juste. Interrogez ces gens qui habitent dans l'écoquartier, ces syndicalistes qui se battent pour des conditions de travail dignes pour tous, ces thérapeutes qui forment les nouvelles générations, tous vous le dirons: « Oui je suis d'accord, j'essaie de faire ma petite contribution mais je n'arrive pas à tout faire. Autours de moi je constate qu'il est difficile de respecter tous les critères et même si j'aimerais y parvenir, je ne peux pas changer à moi tout seul le monde. Mon réseau de solidarité est intéressant mais pas suffisant. J'aimerais en faire plus mais une journée n'a que 24 heures et je n'y arrive pas. » C'est pour ça qu'un pôle d'écologie est essentiel; il permet de réunir toutes ces bonnes pratiques dans un seul lieu. Toutes les pièces du puzzle ainsi réunies permettent de donner une vision globale de ce qu'il est possible de faire et de résister aux concurrences déloyales. Ainsi avec Ecopol il sera un jour possible pour les gens qui vivent dans un écoquartier de mieux se détourner de l'économie spéculative, de faire la transition vers une médecine plus douce, d'augmenter la sécurité sociale et plus globalement, de vivre en cohérence avec leurs valeurs.
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Lorsqu'une entreprise de construction décide d'innover et de construire un écoquartier. Elle choisit des matériaux naturels, réduit la consommation d'énergie et ainsi diminue l'empreint écologique des habitants du lieu.
Un pôle d'écologie communautaire permet de s'inspirer des expériences déjà disponibles, d'éviter des erreurs et de faire un tout cohérent
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Beaucoup s'exclameront: « Superbe! »
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Cependant, cette initiative rencontre ses limites. Lorsque les habitants s'installent dans ce genre de lieu plus par mode, que par pure conscience écologique, certaines situations paradoxales peuvent apparaître. Les habitants veulent conserver leur confort: chacun veut garder sa voiture, sa télévision, son grand salon pour recevoir des amis, sa maison secondaire...
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L'écoquartier est donc un pas en avant. Mais:
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« Est-ce une solution suffisante pour répondre aux urgences actuelles? Cette construction écologique est-elle suffisante pour nettoyer la planète de la pollution provoquée par l'homme? ».
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La première réponse est évidemment: « Non! ».
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Voici un autre exemple illustrant le manque d'implication globale en matière d'écologie:
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Le syndicat d'une entreprise produisant des produits hautement chimiques et néfaste pour environnement lutte pour de meilleures conditions de travail des salariés et obtient gain de cause. Ceci est essentiel pour réconcilier les différentes classes sociales et construire ensemble un monde meilleur. Néanmoins, ces salariés continuent d'habiter dans des maisons préfabriquées qui consomment beaucoup d'énergie car mal isolées, roulent dans des voitures à hautement polluantes et n'ont pas la culture des soins par les thérapies douces.
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Parallèlement, un groupe de médecins en thérapie douce ouvre un centre de formation pour transmettre leur savoir-faire aux jeunes générations. Ce projet est essentiel pour réduire la production de médicaments industriels. Il enseignera aux bénéficiaires comment se soigner par anticipation et en utiliser des plantes pour être en bonne santé. Cette équipe revalorisera des savoir-faire ancestraux et les rendra accessible au grand public. Les salariés auront accés à toutes ces connaissances et seront sensibilisés à l'écologie. Le projet est très abouti mais ce groupe de médecins ne sait pas gérer son équipe de travailleurs. Leurs salariés sont sous-payés et n'ont pas accès à la sécurité sociale.
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Ces exemples sont exagérés.  Dans la pratique il est possible de conjuguer respect de l'environnement, sécurité sociale et économie non spéculative.  
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« Alors pourquoi est-ce que de telles initiatives globales n'émergent pas plus largement un peu partout sur terre? »
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Surement, parce qu'il est difficile et très contraignant de respecter tous ces critères. Bien que la contribution de chacun soit importante, le temps pour nécessaire pour arriver à un projet répondant à tous les défis du monde actuel serait trop long. Il est urgent de chercher et de trouver des solutions rapides, efficaces et globales aux défis planétaires. Nous ne pouvons pas attendre que l'eau et l'air soient entièrement viciés pour retrousser nos manches et adopter des pratiques globalement juste.  
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Interrogez les habitants de l'écoquartier, les syndicalistes qui défendent les conditions décentes de travail, les thérapeutes qui sensibilisent les nouvelles générations, tous vous diront:  
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« Oui je suis d'accord, j'essaie de contribuer à mon échelle car je ne peux pas, à moi tout seul, changer le monde. Mon acte de solidarité est intéressant, certes pas suffisant. Mes journées ne durent que 24 heures, je ne peux pas faire plus!»
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C'est en cela qu'un pôle d'écologie est essentiel. Il permet de réunir toutes ces bonnes pratiques dans un seul lieu. D'offrir une vision globale de ce qu'il est possible de réaliser pour résister aux concurrences déloyales et de s'inspirer des expériences déjà disponibles pour éviter de reproduire des erreurs du passé, tout en construisant un tout cohérent.
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Ecopol propose de vivre dans un écoquartier, de se détourner de l'économie spéculative, de faire la transition vers une médecine plus douce, d'augmenter la sécurité sociale; plus globalement et en résumé de vivre en cohérence avec leurs valeurs du développement durable.

Version du 7 février 2011 à 17:41

L'écologie est aujourd'hui abordé partout et tout le temps. Pour certains c'est une source d'inquiétude, de stress, d'angoisse, un problème à résoudre. Pour d'autres c'est un nouveau secteur économique: écoquartier, produits avec labellisation écologique, vêtements biologiques...

Lorsqu'une entreprise de construction décide d'innover et de construire un écoquartier. Elle choisit des matériaux naturels, réduit la consommation d'énergie et ainsi diminue l'empreint écologique des habitants du lieu. Beaucoup s'exclameront: « Superbe! » Cependant, cette initiative rencontre ses limites. Lorsque les habitants s'installent dans ce genre de lieu plus par mode, que par pure conscience écologique, certaines situations paradoxales peuvent apparaître. Les habitants veulent conserver leur confort: chacun veut garder sa voiture, sa télévision, son grand salon pour recevoir des amis, sa maison secondaire... L'écoquartier est donc un pas en avant. Mais: « Est-ce une solution suffisante pour répondre aux urgences actuelles? Cette construction écologique est-elle suffisante pour nettoyer la planète de la pollution provoquée par l'homme? ». La première réponse est évidemment: « Non! ».

Voici un autre exemple illustrant le manque d'implication globale en matière d'écologie: Le syndicat d'une entreprise produisant des produits hautement chimiques et néfaste pour environnement lutte pour de meilleures conditions de travail des salariés et obtient gain de cause. Ceci est essentiel pour réconcilier les différentes classes sociales et construire ensemble un monde meilleur. Néanmoins, ces salariés continuent d'habiter dans des maisons préfabriquées qui consomment beaucoup d'énergie car mal isolées, roulent dans des voitures à hautement polluantes et n'ont pas la culture des soins par les thérapies douces. Parallèlement, un groupe de médecins en thérapie douce ouvre un centre de formation pour transmettre leur savoir-faire aux jeunes générations. Ce projet est essentiel pour réduire la production de médicaments industriels. Il enseignera aux bénéficiaires comment se soigner par anticipation et en utiliser des plantes pour être en bonne santé. Cette équipe revalorisera des savoir-faire ancestraux et les rendra accessible au grand public. Les salariés auront accés à toutes ces connaissances et seront sensibilisés à l'écologie. Le projet est très abouti mais ce groupe de médecins ne sait pas gérer son équipe de travailleurs. Leurs salariés sont sous-payés et n'ont pas accès à la sécurité sociale.

Ces exemples sont exagérés. Dans la pratique il est possible de conjuguer respect de l'environnement, sécurité sociale et économie non spéculative. « Alors pourquoi est-ce que de telles initiatives globales n'émergent pas plus largement un peu partout sur terre? » Surement, parce qu'il est difficile et très contraignant de respecter tous ces critères. Bien que la contribution de chacun soit importante, le temps pour nécessaire pour arriver à un projet répondant à tous les défis du monde actuel serait trop long. Il est urgent de chercher et de trouver des solutions rapides, efficaces et globales aux défis planétaires. Nous ne pouvons pas attendre que l'eau et l'air soient entièrement viciés pour retrousser nos manches et adopter des pratiques globalement juste.

Interrogez les habitants de l'écoquartier, les syndicalistes qui défendent les conditions décentes de travail, les thérapeutes qui sensibilisent les nouvelles générations, tous vous diront: « Oui je suis d'accord, j'essaie de contribuer à mon échelle car je ne peux pas, à moi tout seul, changer le monde. Mon acte de solidarité est intéressant, certes pas suffisant. Mes journées ne durent que 24 heures, je ne peux pas faire plus!»

C'est en cela qu'un pôle d'écologie est essentiel. Il permet de réunir toutes ces bonnes pratiques dans un seul lieu. D'offrir une vision globale de ce qu'il est possible de réaliser pour résister aux concurrences déloyales et de s'inspirer des expériences déjà disponibles pour éviter de reproduire des erreurs du passé, tout en construisant un tout cohérent.

Ecopol propose de vivre dans un écoquartier, de se détourner de l'économie spéculative, de faire la transition vers une médecine plus douce, d'augmenter la sécurité sociale; plus globalement et en résumé de vivre en cohérence avec leurs valeurs du développement durable.