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Ce ne sont pas que des jeux de mots. C'est un état d'esprit, une culture. De la fluidité, de la mobilité intellectuelle....
 
Ce ne sont pas que des jeux de mots. C'est un état d'esprit, une culture. De la fluidité, de la mobilité intellectuelle....
  
L'apprentissage de l'utilisation d'Internet, ou d'un ordinateur, est généralement basé sur des logiciels, sur des produits. Alors qu'en apprenant les fonctions qui sont génériques, et en ayant une vision globale de leur architecture, de leur mode de fonctionnement, on peut plus facilement passer de l'un à l'autre. Or c'est justement ça la clé pour se sentir à l'aise, pour se sentir vraiment alphabétisé : être capable d'utiliser les outils quel que soit le produit qu'on utilise ; et pour cela il est nécessaire qu'on retrouve toujours les mêmes fonctions, et plus largement qu'on ait des « fondamentaux ». C'est cette notion de fondamentaux qu'on essaie de décrire ici ; c'était la première étape (en référence à l'introduction de Théo Bondolfi dans le Préambule) quand on vouait donner des cours en Afrique, quand on voulait former un cadre, on disait « OK vous allez apprendre un peu intuitivement, mais on va quand même essayer de vous donner des bases ». Et on ne les trouvait pas, c'est donc ce qu'on a fait. On a notamment fait des schémas, etc. parce qu'on trouvait pas des espèces de bases générales. Il y a une sorte de permis de conduire pour l'alphabétisation numérique (ECDL), qui maintenant commence à être un petit peu moins orienté produit et un petit peu plus fonction, mais qui souvent mélange des fonctions essentielles avec des fonctions de second plan. Ce qui est important, c'est d'avoir une sorte de « kit de survie », et c'est ce qu'on donne dans ce plan des véhicules.
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L'apprentissage de l'utilisation d'Internet, ou d'un ordinateur, est généralement basé sur des logiciels, sur des produits. Alors qu'en apprenant les fonctions qui sont génériques, et en ayant une vision globale de leur architecture, de leur mode de fonctionnement, on peut plus facilement passer de l'un à l'autre. Or c'est justement ça la clé pour se sentir à l'aise, pour se sentir vraiment alphabétisé : être capable d'utiliser les outils quel que soit le produit qu'on utilise ; et pour cela il est nécessaire qu'on retrouve toujours les mêmes fonctions, et plus largement qu'on ait des « fondamentaux ». C'est cette notion de fondamentaux qu'on essaie de décrire ici ; c'était la première étape pour donner des cours informatique, quand on voulait former un cadre, on disait « OK vous allez apprendre un peu intuitivement, mais on va quand même essayer de vous donner des bases ». Et on ne les trouvait pas, c'est donc ce qu'on a fait. On a notamment fait des schémas, etc. parce qu'on trouvait pas des espèces de bases générales. Il y a une sorte de permis de conduire pour l'alphabétisation numérique (ECDL), qui maintenant commence à être un petit peu moins orienté produit et un petit peu plus fonction, mais qui souvent mélange des fonctions essentielles avec des fonctions de second plan. Ce qui est important, c'est d'avoir une sorte de « kit de survie », et c'est ce qu'on donne dans ce plan des véhicules.
  
 
L'objectif visé est aussi que chacun des articles puisse faire l'objet d'une collection graphique sous forme de poster, qui puissent être mis dans les centres de formation, avec par exemple : les fonctions génériques d'un traitement de texte, les fonctions génériques d'un système d'exploitation, les dix dates clés de l'histoire d'Internet, la différence entre Internet et le web, les trois types d'informations.
 
L'objectif visé est aussi que chacun des articles puisse faire l'objet d'une collection graphique sous forme de poster, qui puissent être mis dans les centres de formation, avec par exemple : les fonctions génériques d'un traitement de texte, les fonctions génériques d'un système d'exploitation, les dix dates clés de l'histoire d'Internet, la différence entre Internet et le web, les trois types d'informations.
  
Ce qui compte aussi, c'est de ne pas réinventer la roue en apprenant à découvrir les contributions passées avant de contribuer. Cette notion d'intelligence active aussi la réflexion sur la programmation neuro-lingusitique : nos réflexes, nos idées "préconçues".
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Ce qui compte aussi, c'est de ne pas réinventer la roue en apprenant à découvrir les contributions passées avant de contribuer. Cette notion d'intelligence active aussi la réflexion sur la programmation neuro-linguistique : nos réflexes, nos idées "préconçues".
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== Version PDF et imprimée ==
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Qu’est-ce qu’une boîte à outils ?
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Une boîte outil sert à ce que tous les producteurs et utilisateurs aient des références communes, et ainsi bénéficient d’un réseau qui fonctionne bien.
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Dans le domaine des systèmes de transports, la boîte à outil c’est :
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* les règles de la circulation et les panneaux indicateurs
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* les normes de fabrication des véhicules,
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* les contrôles de conformités des véhicules
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* les permis de conduire et les procédures pour l’obtenir
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* les réseaux de transports publics et leur utilité sociale
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* les fédérations de producteurs et de consommateurs, qui défendent leurs intérêts
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* les systèmes tarifaires de maintenance et réparation (garages, mécaniciens..) - etc…
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Avant l’adoption de ces outils par les gouvernements et leurs citoyens, le système de transports de personnes et marchandises par avion, voiture, bateau, était chaotique. Il y avait beaucoup plus d’accident proportionnellement, beaucoup plus de gaspillage, d’abus. Devant l’augmentation des accidents sanglants, spectaculaires, l’opinion publique a poussé les administrations à éviter les complications en régulant le système des transports au moyen de tous ces outils. Ces outils au service des citoyens s’ils sont bien utilisés. Sont-ils bien utilisés ? Tout dépend de la manière dont est géré le système global d’E-communication sur les transports. .
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Dans le domaine des systèmes de d’alimentation, la boîte à outil c’est :
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* les règles nutritionnelles (un peu de sucré et de salé chaque jour, des vitamines…)
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* les normes sanitaires de conditionnement des aliments (assemblages, emballages, conservation durant le transport…)
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* les contrôles de conformités des cultivateurs (limitation des engrais toxiques…)
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* les règles d’exploitation d’un restaurant ou d’un magasin d’alimentation
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* les fédérations de producteurs et de consommateurs, qui défendent leurs intérêts
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* les systèmes tarifaires de maintenance et réparation (garages, mécaniciens..)
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* etc…
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Avant l’adoption de ces outils par les gouvernements et leurs citoyens, le système de d’alimentation des personnes était source de nombreuses maladies. Il y a un lien direct entre l’augmentation de la durée moyenne de vie des humains et la qualité de leur alimentation. Devant l’augmentation des épidémies mortelles et spectaculaires, l’opinion publique pousse les administrations à éviter les complications en régulant le système de production et de consommation des aliments, et cela permet l’émergence des ces outils. Ces outils au service des citoyens s’ils sont bien utilisés. Sont-ils bien utilisés ? Tout dépend de la manière dont est géré le système global de d’information dans le domaine l’alimentation : à quel point est-il contrôlé par des intérêts privés et commerciaux, ou par des intérêts publics et citoyens ?
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Dans le monde de l’E-communication, la boîte à outil c’est notamment :
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* des règles de communication (la netiquette par exemple pour l’email)
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* des normes de fabrication des matériels, logiciels et réseaux
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* des chartes pour les lignes éditoriales des médias
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* les contrôles de conformités des services d’E-communication
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* des politiques et procédures de modérations des contenus
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* les centres d’accès publics et leur utilité sociale
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* les systèmes tarifaires de maintenance et réparation (des ordinateurs, des logiciels…)
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* les licences d’exploitation des informations
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* un système de débat et de vote par Internet
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Comme le système des transports physiques avec des moteurs a plus de 100 ans, et que le système des transports virtuels avec l’Internet a seulement 15 ans, il est normal que la boîte à outil de l’E-communication ne soit pas très connue, qu’il n’y ait pas conscience du danger d’une science de l’E-communication sans conscience. Devant l’augmentation des accidents socio-économiques dû aux mauvais usages de la Société de l’Information, tel la Guerre du Golfe, tels les scandales Enron ou Parmalat, etc… l’adoption de normes d’E-communication pour tous devraient logiquement être renforcées : c’est une question d’équité des chances, insufflée sous la pression de l’opinion publique.
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Boîte à outils versus modèles
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On entend souvent les économistes et les entrepreneurs parler de modèle économique, de modèle de fonctionnement. La culture du modèle ne s'oppose pas à la culture de la boîte à outil, mais la culture de la boîte à outils est bien plus durable. Pourquoi et comment? A reformuler Pourquoi? Parce que lorsqu'on parle de boîte à outils, on parle d'être prêt à accepter la notion d'adaptation à des environnement (et) , des contextes, des situation différentes. On parle donc d'avoir de nombreuses options et de savoir comment faire appel à quelle option et quand. Inversement, (dans le modèle), tout ce qui sort du modèle est considéré comme dangereux car (il ne répond) ne répondant pas au mode de fonctionnement défini par (le) ce modèle. En conséquence, dans une société de plus en plus complexe, où internet nous donne accès à de nombreux modèles, on peut considérer que la boîte à outils est une collection de modèles, une collection de modes de fonctionnement, et qu'il est en même temps plus risqué, plus humaniste et plus citoyen d'être capable de réagir avec cohérence au cas par cas. (Exemple:) Par exemple, (à certains moments) il s'agira parfois plutôt de mettre de l'eau dans son vin et d'accepter des compromis (qui montrent qu'il y a) montrant qu'il existe une certaine discrimination dans la gestion de l'information, et à d'autres moments il s'agira au contraire, parce que les enjeux sont beaucoup plus importants, de demander que la non-discrimination soit beaucoup plus radicale. Voilà typiquement une approche où on parlera de boîte à outils, car on utilisera un modèle plutôt open source dans un environnement partiellement discriminatoire, alors qu'on utilisera un modèle libre lorsqu'on veut une absence radicale de discrimination. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres de la différence entre les boîtes à outils et les modèles.
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A supprimer et mettre uniquement l'intro e-com à mettre ailleurs

Version actuelle datée du 21 août 2011 à 21:11

Pourquoi plan des véhicules ? Parce que chapitre traite de circulation de l'information, de permis de conduire sur les autoroutes de la connaissance. Ce ne sont pas que des jeux de mots. C'est un état d'esprit, une culture. De la fluidité, de la mobilité intellectuelle....

L'apprentissage de l'utilisation d'Internet, ou d'un ordinateur, est généralement basé sur des logiciels, sur des produits. Alors qu'en apprenant les fonctions qui sont génériques, et en ayant une vision globale de leur architecture, de leur mode de fonctionnement, on peut plus facilement passer de l'un à l'autre. Or c'est justement ça la clé pour se sentir à l'aise, pour se sentir vraiment alphabétisé : être capable d'utiliser les outils quel que soit le produit qu'on utilise ; et pour cela il est nécessaire qu'on retrouve toujours les mêmes fonctions, et plus largement qu'on ait des « fondamentaux ». C'est cette notion de fondamentaux qu'on essaie de décrire ici ; c'était la première étape pour donner des cours informatique, quand on voulait former un cadre, on disait « OK vous allez apprendre un peu intuitivement, mais on va quand même essayer de vous donner des bases ». Et on ne les trouvait pas, c'est donc ce qu'on a fait. On a notamment fait des schémas, etc. parce qu'on trouvait pas des espèces de bases générales. Il y a une sorte de permis de conduire pour l'alphabétisation numérique (ECDL), qui maintenant commence à être un petit peu moins orienté produit et un petit peu plus fonction, mais qui souvent mélange des fonctions essentielles avec des fonctions de second plan. Ce qui est important, c'est d'avoir une sorte de « kit de survie », et c'est ce qu'on donne dans ce plan des véhicules.

L'objectif visé est aussi que chacun des articles puisse faire l'objet d'une collection graphique sous forme de poster, qui puissent être mis dans les centres de formation, avec par exemple : les fonctions génériques d'un traitement de texte, les fonctions génériques d'un système d'exploitation, les dix dates clés de l'histoire d'Internet, la différence entre Internet et le web, les trois types d'informations.

Ce qui compte aussi, c'est de ne pas réinventer la roue en apprenant à découvrir les contributions passées avant de contribuer. Cette notion d'intelligence active aussi la réflexion sur la programmation neuro-linguistique : nos réflexes, nos idées "préconçues".


A ajouter:

Version PDF et imprimée

Qu’est-ce qu’une boîte à outils ?

Une boîte outil sert à ce que tous les producteurs et utilisateurs aient des références communes, et ainsi bénéficient d’un réseau qui fonctionne bien.

Dans le domaine des systèmes de transports, la boîte à outil c’est :

  • les règles de la circulation et les panneaux indicateurs
  • les normes de fabrication des véhicules,
  • les contrôles de conformités des véhicules
  • les permis de conduire et les procédures pour l’obtenir
  • les réseaux de transports publics et leur utilité sociale
  • les fédérations de producteurs et de consommateurs, qui défendent leurs intérêts
  • les systèmes tarifaires de maintenance et réparation (garages, mécaniciens..) - etc…

Avant l’adoption de ces outils par les gouvernements et leurs citoyens, le système de transports de personnes et marchandises par avion, voiture, bateau, était chaotique. Il y avait beaucoup plus d’accident proportionnellement, beaucoup plus de gaspillage, d’abus. Devant l’augmentation des accidents sanglants, spectaculaires, l’opinion publique a poussé les administrations à éviter les complications en régulant le système des transports au moyen de tous ces outils. Ces outils au service des citoyens s’ils sont bien utilisés. Sont-ils bien utilisés ? Tout dépend de la manière dont est géré le système global d’E-communication sur les transports. .

Dans le domaine des systèmes de d’alimentation, la boîte à outil c’est :

  • les règles nutritionnelles (un peu de sucré et de salé chaque jour, des vitamines…)
  • les normes sanitaires de conditionnement des aliments (assemblages, emballages, conservation durant le transport…)
  • les contrôles de conformités des cultivateurs (limitation des engrais toxiques…)
  • les règles d’exploitation d’un restaurant ou d’un magasin d’alimentation
  • les fédérations de producteurs et de consommateurs, qui défendent leurs intérêts
  • les systèmes tarifaires de maintenance et réparation (garages, mécaniciens..)
  • etc…

Avant l’adoption de ces outils par les gouvernements et leurs citoyens, le système de d’alimentation des personnes était source de nombreuses maladies. Il y a un lien direct entre l’augmentation de la durée moyenne de vie des humains et la qualité de leur alimentation. Devant l’augmentation des épidémies mortelles et spectaculaires, l’opinion publique pousse les administrations à éviter les complications en régulant le système de production et de consommation des aliments, et cela permet l’émergence des ces outils. Ces outils au service des citoyens s’ils sont bien utilisés. Sont-ils bien utilisés ? Tout dépend de la manière dont est géré le système global de d’information dans le domaine l’alimentation : à quel point est-il contrôlé par des intérêts privés et commerciaux, ou par des intérêts publics et citoyens ?

Dans le monde de l’E-communication, la boîte à outil c’est notamment :

  • des règles de communication (la netiquette par exemple pour l’email)
  • des normes de fabrication des matériels, logiciels et réseaux
  • des chartes pour les lignes éditoriales des médias
  • les contrôles de conformités des services d’E-communication
  • des politiques et procédures de modérations des contenus
  • les centres d’accès publics et leur utilité sociale
  • les systèmes tarifaires de maintenance et réparation (des ordinateurs, des logiciels…)
  • les licences d’exploitation des informations
  • un système de débat et de vote par Internet

Comme le système des transports physiques avec des moteurs a plus de 100 ans, et que le système des transports virtuels avec l’Internet a seulement 15 ans, il est normal que la boîte à outil de l’E-communication ne soit pas très connue, qu’il n’y ait pas conscience du danger d’une science de l’E-communication sans conscience. Devant l’augmentation des accidents socio-économiques dû aux mauvais usages de la Société de l’Information, tel la Guerre du Golfe, tels les scandales Enron ou Parmalat, etc… l’adoption de normes d’E-communication pour tous devraient logiquement être renforcées : c’est une question d’équité des chances, insufflée sous la pression de l’opinion publique.



Version en ligne

Enregistrement audio:

Boîte à outils versus modèles

On entend souvent les économistes et les entrepreneurs parler de modèle économique, de modèle de fonctionnement. La culture du modèle ne s'oppose pas à la culture de la boîte à outil, mais la culture de la boîte à outils est bien plus durable. Pourquoi et comment? A reformuler Pourquoi? Parce que lorsqu'on parle de boîte à outils, on parle d'être prêt à accepter la notion d'adaptation à des environnement (et) , des contextes, des situation différentes. On parle donc d'avoir de nombreuses options et de savoir comment faire appel à quelle option et quand. Inversement, (dans le modèle), tout ce qui sort du modèle est considéré comme dangereux car (il ne répond) ne répondant pas au mode de fonctionnement défini par (le) ce modèle. En conséquence, dans une société de plus en plus complexe, où internet nous donne accès à de nombreux modèles, on peut considérer que la boîte à outils est une collection de modèles, une collection de modes de fonctionnement, et qu'il est en même temps plus risqué, plus humaniste et plus citoyen d'être capable de réagir avec cohérence au cas par cas. (Exemple:) Par exemple, (à certains moments) il s'agira parfois plutôt de mettre de l'eau dans son vin et d'accepter des compromis (qui montrent qu'il y a) montrant qu'il existe une certaine discrimination dans la gestion de l'information, et à d'autres moments il s'agira au contraire, parce que les enjeux sont beaucoup plus importants, de demander que la non-discrimination soit beaucoup plus radicale. Voilà typiquement une approche où on parlera de boîte à outils, car on utilisera un modèle plutôt open source dans un environnement partiellement discriminatoire, alors qu'on utilisera un modèle libre lorsqu'on veut une absence radicale de discrimination. Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres de la différence entre les boîtes à outils et les modèles.


Reste à faire

Compléter avec enregistrement audio A supprimer et mettre uniquement l'intro e-com à mettre ailleurs