Licences et déclinaisons : Différence entre versions

De Wiki ECOPOL
 
(Une révision intermédiaire par un autre utilisateur non affichée)
Ligne 30 : Ligne 30 :
 
Introduction au tableau
 
Introduction au tableau
  
De tout temps, il y a eu deux tendances, deux écoles en ce qui concerne le partage de l'information. La tendance dite propriétaire, consistant à garder l'information pour soi, qui était largement dominante tant que le partage de l'information était difficile et que l'information était une denrée rare dans un monde aux ressources matérielles illimitées. Progressivement, avec l'inversion des paradigmes et le passage d'un monde aux ressources matérielles limitées et aux ressources informationnelles illimitées, notamment à travers internet, les tenants de l'autre formule, qui encourage le partage, ont pu mieux faire entendre leur voix. Que disent-ils en résumé? Que l'information prend de la valeur lorsqu'elle est partagée, que les idées ne sont pas inventées par ceux qui les véhiculent, mais qu'elles sont découvertes, (elles sont) transformées, (elle sont) pour être ensuite redistribuées, (elles sont) adaptées, mélangées, remixées, (comme des) comme le font les DJ, à l'image de la terre qui reçoit des aliments, les transforme et les restitue. Que dans le monde de l'information aussi, rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme, et qu'à ce titre, ce qui compte c'est de se concentrer sur la qualité des processus de production, car c'est à travers cela que l'on peut identifier au mieux si un flux d'information est vraiment au service du bien commun, au service des intérêts de la majorité et donc, est vraiment intéressant. Bien entendu les choses ne sont ni noires (et) ni blanches, il s'agit de découvrir les tendances, et ainsi d'avoir une nouvelle grille de lecture pour mieux faire des choix au quotidien en tant que citoyen, acheteur (acheter est un acte politique) et particulièrement en tant que décideur dans des organisations privées ou publiques, afin de servir au mieux les intérêts de la majorité. A noter, un seul point qui permet de clore de nombreux faux débats: une entreprise privée qui partage librement son information ne prend pas un risque inconsidéré, au contraire elle permet de créer un environnement de confiance pour que ses clients, partenaires, fournisseurs, et même ses concurrents puissent saluer la qualité de ses prestations et ainsi entrer dans une démarche de partage. Mais pour cela, il faut que le travail soit fait à la racine, dès la conception, et non pas seulement lors de la distribution de l'information.
+
De tout temps, il y a eu deux tendances, deux écoles en ce qui concerne le partage de l'information. La tendance dite privative, consistant à garder l'information pour soi, qui était largement dominante tant que le partage de l'information était difficile et que l'information était une denrée rare dans un monde aux ressources matérielles illimitées. Progressivement, avec l'inversion des paradigmes et le passage d'un monde aux ressources matérielles limitées et aux ressources informationnelles illimitées, notamment à travers internet, les tenants de l'autre formule, qui encourage le partage, ont pu mieux faire entendre leur voix. Que disent-ils en résumé? Que l'information prend de la valeur lorsqu'elle est partagée, que les idées ne sont pas inventées par ceux qui les véhiculent, mais qu'elles sont découvertes, (elles sont) transformées, (elle sont) pour être ensuite redistribuées, (elles sont) adaptées, mélangées, remixées, (comme des) comme le font les DJ, à l'image de la terre qui reçoit des aliments, les transforme et les restitue. Que dans le monde de l'information aussi, rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme, et qu'à ce titre, ce qui compte c'est de se concentrer sur la qualité des processus de production, car c'est à travers cela que l'on peut identifier au mieux si un flux d'information est vraiment au service du bien commun, au service des intérêts de la majorité et donc, est vraiment intéressant. Bien entendu les choses ne sont ni noires (et) ni blanches, il s'agit de découvrir les tendances, et ainsi d'avoir une nouvelle grille de lecture pour mieux faire des choix au quotidien en tant que citoyen, acheteur (acheter est un acte politique) et particulièrement en tant que décideur dans des organisations privées ou publiques, afin de servir au mieux les intérêts de la majorité. A noter, un seul point qui permet de clore de nombreux faux débats: une entreprise privée qui partage librement son information ne prend pas un risque inconsidéré, au contraire elle permet de créer un environnement de confiance pour que ses clients, partenaires, fournisseurs, et même ses concurrents puissent saluer la qualité de ses prestations et ainsi entrer dans une démarche de partage. Mais pour cela, il faut que le travail soit fait à la racine, dès la conception, et non pas seulement lors de la distribution de l'information.
  
  
Ligne 57 : Ligne 57 :
  
  
3.5.1 - Les enjeux de la culture libre Ressources prioritaires : Société de l'information libre ou propriétaire, quels enjeux?
+
3.5.1 - Les enjeux de la culture libre Ressources prioritaires : Société de l'information libre ou privative, quels enjeux?
 
+
Comparaison des logiciels et des modèles de gestion libres et privatives. http://www.ynternet.org/info/115906/file/11068/Tableau_Libre_proprietaire_v1_1.pdf
Comparaison des logiciels et des modèles de gestion libres et propriétaires. http://www.ynternet.org/info/115906/file/11068/Tableau_Libre_proprietaire_v1_1.pdf
 
  
 
- Une première définition de ce qu'est la "culture libre" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_libre
 
- Une première définition de ce qu'est la "culture libre" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_libre
Ligne 145 : Ligne 144 :
 
----
 
----
 
   
 
   
=== Encart 1 ===
+
=== Encart ===
 
Quelle est la différence entre libre et gratuit? «Gratuit» veut dire «disponible sans payer». «Libre» signifie «qui respecte votre liberté». Par exemple, le lecteur de Flash d'Adobe est gratuit mais pas libre, car le code source n'est pas disponible. Par contre, on peut vendre la copie d'un programme libre, auquel cas cette copie n'est pas gratuite. Source : Interview de Richard Stallman dans le quotidien "le courrier", septembre 2009.
 
Quelle est la différence entre libre et gratuit? «Gratuit» veut dire «disponible sans payer». «Libre» signifie «qui respecte votre liberté». Par exemple, le lecteur de Flash d'Adobe est gratuit mais pas libre, car le code source n'est pas disponible. Par contre, on peut vendre la copie d'un programme libre, auquel cas cette copie n'est pas gratuite. Source : Interview de Richard Stallman dans le quotidien "le courrier", septembre 2009.

Version actuelle datée du 3 janvier 2011 à 21:49

Version PDF et imprimée

Libre au maximum ou Libre dans l’optimum ?

Le but de cet article est de donner une définition la plus claire possible de la liberté à l’ère de la Société de l’Information. Il faut savoir d’abord que le mot liberté a été largement détourné de son sens. On peut parler d’abus, de viol de la valeur suprême de l’humanité : la liberté en tant que droit à l’équité des chances pour tous. Comment cela s’est-il produit ? Par la concentration des médias.

Anciens paradigmes : Monde infini. 
Modèles économiques basés sur la pénurie, l'exclusivité, la maximisation des profits, l'incompatibilité des solutions, la hiérarchies de statut, la formation académique ...

Nouveaux paradigmes : Monde fini. 
Modèles économiques basés sur l'abondance, la non-exclusivité, l'optimisation des profits, la compatibilité des solutions, les hiérarchies de compétences, les apprentissages permanents ...


Extraits avec adaptation du supplément Manière de Voir du Monde diplomatique "50 ans qui ont changé notre monde", article "Aux ordres du Nord, l’ordre de l’information" par jacques Decornoy », p. 92.

Un nouvel ordre de l’Information et de la Communication s’est tout naturellement forgé, hors de tout dogmatisme, de toute idéologie, de toute contrainte étatique ou supranationale dans le Laboratoire Mondial de la Liberté. Plus rien ne n’oppose au libre achat de la presse polonaise par le groupe français Hersant et le groupe suisse Edipresse, au Libre accès de la télévision chinoise à la publicité japonaise, au libre arrosage universel des radios et des télévisions par satellites, à la libre concentration des données par une poignée de groupes.

Dans les exemples polonais et chinois évoqués ci-dessus, la liberté est appréciée sous sa forme « maximaliste ». Cela signifie qu’il faut réaliser un profit maximum, à n’importe quel prix. Cette tendance s’appuie sur la croyance selon laquelle les ressources de la planète sont illimitées, infinies, car les impacts négatifs indirects de ces concentrations de données, de cette publicité omniprésente, ne sont pas pris en compte par ceux qui dirigent les grandes industries de l’information. Ils ne voient qu’à court terme, car ils sont dépendants de l’économie de la panique, à travers l’actionnariat volatile qui détermine la valeur de leur firme.

A l'inverse, lorsque l’on parle de licence logiciel libre, de libre partage du savoir, de liberté d’opinion, d’eCulture « libre », la liberté est appréciée sous sa forme optimale, à long terme.

Lorsque la « communauté du libre », utilise ce mot « libre », elle pense au libre optimal, durable, écologiquement et socialement responsable, protégé des dangers de la privatisation et de la concentration des ressources. Un libre équitable, juste.



Version en ligne

Enregistrement:

Introduction au tableau

De tout temps, il y a eu deux tendances, deux écoles en ce qui concerne le partage de l'information. La tendance dite privative, consistant à garder l'information pour soi, qui était largement dominante tant que le partage de l'information était difficile et que l'information était une denrée rare dans un monde aux ressources matérielles illimitées. Progressivement, avec l'inversion des paradigmes et le passage d'un monde aux ressources matérielles limitées et aux ressources informationnelles illimitées, notamment à travers internet, les tenants de l'autre formule, qui encourage le partage, ont pu mieux faire entendre leur voix. Que disent-ils en résumé? Que l'information prend de la valeur lorsqu'elle est partagée, que les idées ne sont pas inventées par ceux qui les véhiculent, mais qu'elles sont découvertes, (elles sont) transformées, (elle sont) pour être ensuite redistribuées, (elles sont) adaptées, mélangées, remixées, (comme des) comme le font les DJ, à l'image de la terre qui reçoit des aliments, les transforme et les restitue. Que dans le monde de l'information aussi, rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme, et qu'à ce titre, ce qui compte c'est de se concentrer sur la qualité des processus de production, car c'est à travers cela que l'on peut identifier au mieux si un flux d'information est vraiment au service du bien commun, au service des intérêts de la majorité et donc, est vraiment intéressant. Bien entendu les choses ne sont ni noires (et) ni blanches, il s'agit de découvrir les tendances, et ainsi d'avoir une nouvelle grille de lecture pour mieux faire des choix au quotidien en tant que citoyen, acheteur (acheter est un acte politique) et particulièrement en tant que décideur dans des organisations privées ou publiques, afin de servir au mieux les intérêts de la majorité. A noter, un seul point qui permet de clore de nombreux faux débats: une entreprise privée qui partage librement son information ne prend pas un risque inconsidéré, au contraire elle permet de créer un environnement de confiance pour que ses clients, partenaires, fournisseurs, et même ses concurrents puissent saluer la qualité de ses prestations et ainsi entrer dans une démarche de partage. Mais pour cela, il faut que le travail soit fait à la racine, dès la conception, et non pas seulement lors de la distribution de l'information.


A TB & Raph de faire un digest sur 500 caractères avec sources

Famille ouverte versus famille fermée

dans la famille ouverte,

combat ONU Francis Muguet

POURQUOI FREE ? Parce que sinon cela permet de le contrôle de la majorité par une minorité, donc pas d'équité des chances dans le développement socio-professionnel,donc une certaine forme de discrimination.

Exemple en 2010 : Google qui donne du code opensource mais qui n'autorise pas à utiliser ce code pour créer des fonctions similaires à ses produits.


En résumé, si seulement opensource, pas de choix de société, privatiser les résultats des contributions, alors que sinon (...)

A noter que le 100% libre est au minimum autant rémunérateur, mais demande un niveau de compétence supérieur car le résultat est soumis à la validation de tous..

Sources: http://www.gnu.org/philosophy/free-software-for-freedom.fr.html#relationship http://www.itworld.com/LWD010523vcontrol4 http://www.neogia.org/Logiciel_Libre_versus_Open_Source


LIBRE N'EST PAS GRATUIT Libre signifie que vous pouvez vous approprier et animer à votre rythme une culture de communication et les contenus qui en sont issus. Le "libre" est un écosystème avec un modèle socio-économique éthique et responsable. Néanmoins, le libre a un coût de développement et de reproduction que vous devrez couvrir avec votre valeur : temps, argent, contre-prestations.



3.5.1 - Les enjeux de la culture libre Ressources prioritaires : Société de l'information libre ou privative, quels enjeux? Comparaison des logiciels et des modèles de gestion libres et privatives. http://www.ynternet.org/info/115906/file/11068/Tableau_Libre_proprietaire_v1_1.pdf

- Une première définition de ce qu'est la "culture libre" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Culture_libre

- Un bref historique et un argumentaire sur la culture libre et le choix de diffuser sa production artistique librement : http://www.venividilibri.org/CultureLibre/CultureLibre

- Définition d'un contenu libre : http://fr.wikipedia.org/wiki/Contenu_libre

- Définition du bien commun ... http://fr.wikipedia.org/wiki/Bien_commun

- Et de ce à quoi il s'oppose, les "biens rivaux" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biens_rivaux

- Le modèle économique de l'open source : http://www.extropia.com/tutorials/misc/opensourcebiz.html

- Pour découvrir les logiciels et la culture libres : http://www.framasoft.net/

- Sur le même site, des pages consacrées à Sésamath, manuel de mathématiques élaboré selon les principes du travail collaboratif et diffusé sous licence libre : http://www.framasoft.net/article4410.html 3.5.2 - Recherche et choix de la licence à associer à ses publications

- « S’il y a bien une chose qu’il ne faut pas oublier, c’est que les licences libres n’ont pas pour visée de contester le droit d’auteur, mais de répondre à un besoin supérieur qui dépasse l’intérêt particulier qui lie l’auteur à ses droits patrimoniaux ; il s’agit de constituer un corpus de savoirs (qu’il s’agisse de sciences, d’humanités ou d’objets esthétiques) à travers lequel les individus se relient, un bien commun que chacun, selon ses désirs ou ses compétences, pourrait transmettre et enrichir. » Un long article très complet sur les critères de choix d'une licence, notamment pour protéger et diffuser une oeuvre collective : http://www.transactiv-exe.org/article.php3?id_article=95

- Quelle licence utiliser? Les conseils de Wikipedia à ses contributeurs : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Quelle_licence_utiliser_%3F

- Critères pour choisir une licence (en anglais) : http://freecontentdefinition.org/Licenses#Criteria_for_choosing_a_license

- "Partagez ce que vous voulez, protégez ce que vous voulez" : telle est la devise de l'organisation Creative Commons, ayant abouti à la création de 6 licences à utiliser par les auteurs. Détails : http://www.framasoft.net/article2185.html

- Pourquoi ne faut-il pas utiliser la clause « usages non commerciaux seulement » des licences Creative Commons (en anglais) : http://freecontentdefinition.org/Licenses/NC

- Liste commentée de toutes les licences de documentation et pour d'autres oeuvres (oeuvres artistiques et de divertissement, polices de caractères) : http://www.gnu.org/licenses/license-list.fr.html#FreeDocumentationLicenses

- Même chose en plus succinct, avec renvoi sur des sites spécialisés : http://www.aful.org/ressources/licences-libres

- Licences, formats et langages informatiques libres : http://www.venividilibri.org/Licences/Licences

- Les usages en matière de copie, diffusion et transformation d'oeuvres originales diffèrent selon les milieux professionnels... Le plus sage est d'encorager l'usage de son oeuvre avec une licence en accord avec les pratiques des usagers : http://www.documentlibre.org/licences.html

- Comment s'y reconnaître parmi toutes les licences du libre? Démonstration par l'exemple : http://www.lespacedunmatin.info/blog/index.php?2005/05/05/252-bien-choisir-sa-licence-de-documentation

- Les choses se compliquent encore lorsque l'on compile des oeuvres placées sous des licences libres différentes. Un article pour s'y retrouver et faire les bons choix, en .pdf : http://www.venividilibri.org/uploads/ActualiteVVL/Colloque2.pdf

- Tableau comparatif des licences libres applicables à la musique : http://3boom.net/okosystem/licences.htm

3.5.3 - Gestion des licences

- Bien choisir sa licence, c'est faciliter l'utilisation de vos productions. Voir la difficulté d'utilisation de certaines ressources à laquelle sont confrontés les enseignants, sur ce site canadien : http://www.meq.gouv.qc.ca/drd/aut/internet.html

- Le passage de la licence libre à la licence prorpiétaire, exemple : http://casteyde.christian.free.fr/support/licensing.html

- En commentaire à cet article déjà cité : http://www.transactiv-exe.org/article.php3?id_article=95 Une remarque pertinente sur la complexité de gestion des licences Creative Commons : "Quoi qu’en dise Debian, il se peut que la CC by+sa soit tout de même une licence libre. Mais le problème avec CC et ses commodités en libre service modulables et fractionnables à volonté, c’est qu’il brouille les repères et vous emberlificote dans un écheveau juridique complexe tout en vous donnant une illusion de liberté."

Ressources complémentaires

Si vous souhaitez illustrer vos articles par des définitions, des citations, des images, tout en restant dans la légalité, voici des ressources sous licences libres :

- Un annuaire qui tente de réunir toutes les ressources internet diffusant des médias (musique, vidéos, livres, etc.) consultables et utilisables librement : http://www.kulturo.info/

- Textes du projet Wikimedia Commons : http://commons.wikimedia.org/wiki/Accueil

- Citations du projet Wikiquotes : http://fr.wikiquote.org

- Définitions du projet Wiktionnaire : http://fr.wiktionary.org

- Articles encyclopédiques de Wikipedia : http://fr.wikipedia.org

- Images sous Licence Art Libre : http://commons.wikimedia.org/w/index.php?title=Category:FAL http://www.freemages.net/

- Méta-moteur de recherche d'image sous licence Creative Commons : http://everystockphoto.com

- Banque d'image sous divers licence Creative Commons : http://flickr.com/creativecommons

- Banque d'images libres : http://imageafter.com

- Banque d'images libres sous certaines conditions : http://morguefile.com/ http://stockvault.net/

- Banque d'images sous licence Creative Commons : http://openphoto.net

- Banque d'images dont une partie sous licences libres : http://sxc.hu

- Méta-moteur de recherche d'image sous licence Creative Commons : http://yotophoto.com

- Banque d'image sous licence Creative Common : http://openclipart.org

- Banque d'image sous licence GNU Free Documentation License : http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Images


Encart

Quelle est la différence entre libre et gratuit? «Gratuit» veut dire «disponible sans payer». «Libre» signifie «qui respecte votre liberté». Par exemple, le lecteur de Flash d'Adobe est gratuit mais pas libre, car le code source n'est pas disponible. Par contre, on peut vendre la copie d'un programme libre, auquel cas cette copie n'est pas gratuite. Source : Interview de Richard Stallman dans le quotidien "le courrier", septembre 2009.