A l'assaut des encyclopédies virtuelles : Différence entre versions

De Wiki ECOPOL
(Wiki : mode d'emploi)
 
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==Des ressources bien gardées==
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''Connaissances, information, bien commun, partage, contribution''
Il y a longtemps, le monde était composé de régions ayant chacune en son centre une cité plus ou moins protégée par des murailles.
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<br> Avez-vous déjà vu un film moyenâgeux?
 
<br> La vie du bourg s'organisait autour du château et de la cathédrale ou de l'église.
 
<br> En cas d'attaque, la cité était protégée par les murailles, les ennemis devaient les franchir. Ces remparts protégeaient les populations.
 
<br> Prendre le contrôle de la cité, allait de pair avec avoir la main mise sur toute la région. Une fois la ville fortifiée assiègeait, les nouveaux gouverneurs règnaient sur toutes les terres, profitaient des production de la ville et pouvaient encaisser les différents impôts.
 
  
Les prises d'assaut des cités s'expliquent par un besoin primaire de l'être humain: l'accès à des ressources rares.
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== Le mystère du savoir ==
  
==Aujourd'hui tout a changé==
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L'histoire du savoir est une histoire de mystères. Dans l'Europe médiévale, la connaissance était réservée à une toute petite minorité de privilégiés&nbsp;: les moines d'abord, qui enfermaient leurs ouvrages savants dans d'immenses bibliothèques privées&nbsp;; quelques aristocrates aussi, férus de sciences, de littérature ou de langues étrangères, qui avaient la possibilité de se procurer les quelques manuscrits en circulation. Il s'agissait alors du seul support à même de transmettre des informations.
  
Nous sommes dans une société de l'abondance: il y a trop de nourriture sur Terre. Une grande partie des récoltes de céréales nourrissent des animaux entassés dans des élevages industriels et qui finiront en burgers dans les assiettes des des''' pays dits développés'''. Alors que dans les pays du sud, les cultures vivrières, celles qui nourrrissent les populations, ont été remplacées par ces exploitations céréalières au service de la consommation. Les populations des '''pays en développement''' n'ont rien à se mettre dans l'assiette, ils ne leur restent que les miettes, ou les produits vens du nord, vendu à un prix qui ne peuvent honorer.
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Les livres étaient particulièrement onéreux et leurs lecteurs potentiels guère abondants, d'autant que la plupart des textes étaient rédigés en latin.
  
Les passeports de l'espace Shengen, des Etats Unis, de l'Australie ou encore du Japon sont de vrais laisser-passer. Bien qu'on puisse faire le tour de la planète, il demeure néanmoins, des espaces, interdits aux masses : les salons VIP, les réunions des groupes d'intérêts économiques privés, le site de séjour du G8 ou du G20, le forum économique de Davos et biensûr les zones militaires.  
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C'est avec l'invention de l'imprimerie, au xve siècle, que tout s'accéléra. Plus nombreux, moins coûteux, les livres feront progressivement l'objet de traductions qui les rendront plus accessibles. Mais il faudra attendre encore longtemps avant que l'ensemble d'une population puisse disposer de l'instruction nécessaire (apprentissage de la lecture) – pour que le savoir, soit en somme, démocratisé au fil des siècles, soit enfin considéré comme un bien commun.  
<br> Dans les sociétés où manger, n'est plus le problème du plus grand nombre, les assauts populaires ne se font plus pour des ressources naturelles. Les envahisseurs d'aujourd'hui, combattent les différentes formes de pouvoir en quête d'informations. Il y a quelques siècles, on était attirés par la matière, on voulait posséder plus de biens, de minéraux. Aujourd'hui, les populations des pays riches ne sont plus intéressées par les ressources limitées, elles les possèdent déjà en nombre suffisant. Elles se battent pour une autre chose, pour une ressource inépuisable: l'information.
 
<br> Ce revirement du bien convoité est intéressant. Le parallèle prend encore plus de poids quand on se rend compte que matière et information ont des propriétés opposées: alors que l'échange fait varier la valeur de l'une, l'autre ne change pas de nature.
 
<br>Prenons un exemple, si plusieurs personnes se partagent une somme, chacun en possèdera un certain pourcentage; mais si plusieurs personnes partangent une information, chacun possèdera la même chose...
 
  
===Des cités murailles aux encyclopédies virtuelles===
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Le partage des connaissances a trouvé dans Internet son média d'élection. Avec le Web, ce sont toutes les classes sociales, toutes les nationalités, tous les âges qui peuvent avoir accès à une somme d'informations gratuites et infiniment étendues. La circulation des connaissances n'est plus contrôlée par un petit nombre d'érudits&nbsp;: '''elle est dynamisée par la masse des internautes, sans restriction'''.
  
Dans ce contexte, les encyclopédies comme '''Wikipédia''' ou '''Ékopédia''', sont des socles de la société, des cités où s'accumulent les ressources convoitées. Mais si elles sont attaquées, elles ne réagissent pas comme les cités médiévales, bien au contraire, le mot d'ordre serait:
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Le numérique a révolutionné notre conception du savoir et du partage de l'information (voir également [[Fracture numérique]]).  
<br>'''''« Bienvenue! Participez, contribuez, montrez que vous le méritez et vous serez reconnus comme co-responsables, co-dirigeants de cette entreprise »'''''.
 
C'est pour ça que pour créer un mouvement, on passe d'une manière ou d'une autre par l'explication et la définition de notions essentielles et de pratiques durables dans des encyclopédies participatives et multilingues sur le web, comme Wikipédia et Ékopédia.  
 
  
C'est une personne qui partage un information avec des milliers d'autres, avec la possibilité que ces milliers ajoutent chacun des précisions sur cette information que les précédentes ne connaissait pas, ainsi tout le monde apprend, même la première!
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=== Des cités murailles aux encyclopédies virtuelles  ===
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Les encyclopédies telles que Wikipédia ou Ékopédia sont l'illustration parfaite de cette nouvelle compréhension du savoir&nbsp;: chacun peut en bénéficier et surtout y contribuer. Plus précise et exhaustive que jamais, l'information est universellement disponible. L'irruption d'un média aussi innovant a sur la société des répercussions multiples et fondamentales.
  
==L'apprentissage par l'expérience==
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Les encyclopédies participatives permettent à tout un chacun d'accéder à l'échange d'informations, à l'explication et à la définition de notions essentielles et de pratiques durables. Cette contribution permanente permet la mise en place d'un nouveau fonctionnement social, basé sur l'entraide et le partage, sur le nivellement des différences sociales et sur la relativisation des distances géographiques. Elle autorise un partage du savoir détaché des questions de religion, de couleur, de sexe, de nationalité ou encore de classe sociale.
Vraiment, essayez par vous-même : recherchez une notion comme « écoconstruction », « communication non violente » ou encore « alicamentation». Découvrez ce qui existe déjà sur Wikipédia, Ékopédia, ou autre. Vous verrez que tout le monde peut découvrir ces notions par rapport à ses centres d'intérêts et même contribuer à les mettre à jour, les étoffer, les raffiner.
 
  
On peut développer ainsi plusieurs compétences en une : la compétence sociale et technique d'édition d'une page dans un wiki et, bien plus important, la compétence d'agir avec d'autres dans un écosystème d'intelligence collective, pour confronter sa vision avec celles des autres sur cette notion. En plus, on apprend aussi le respect des règles extrêmement précises mises en place par la communauté du ''Libre'', telles que:
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=== L'apprentissage par l'expérience ===
* les limites de l'auto-promotion (faire sa propre pub)
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À nouvel outil, nouvelles compétences, qui se conjuguent volontiers en simultané. Ainsi l'expertise technique qui permet d'éditer une page dans un wiki s'enrichit-elle de la compétence sociale ainsi mise en œuvre, déployée dans un [[écosystème]] d'[[intelligence collective]] par interaction et confrontation de vision. Dans le même temps, le respect de règles d'éthique aide à prendre conscience de l'importance de chacune de nos actions.
* la citation des sources (ce que j'écris à été dit/écrit par untel)
 
* la culture de l'hyper-objectivité (être au plus vrai, sans prendre parti)
 
* la non-discrimination radicale (les mêmes droits pour tout le monde)
 
* la certification par les pairs (je confirme ce qui est écrit par un autre)
 
* la hiérarchie de contribution
 
* la culture de la modération
 
* le nettoyage participatif de bases de données
 
  
==Wikimode d'emploi==
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La [[communauté du libre]] revendique&nbsp;:
  
Le Wiki est un type de plateforme web créée pour que tout le monde puisse participer. Une trace des contributions de chacun est visible et un système de contrôle participatif (chacun peut avertir) avec des alertes évite le ''vandalisme''. Les Wikis peuvent servir notamment à définir notions et mots-clés comme dans une encyclopédie, mais aussi à plein d'autres actions. Par exemple un projet commun à un groupe comme une lettre, une pétition, un livre ou un mode d'emploi, un manifeste ou un scénario de cours.  
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* La citation des sources (ce que j'écris a été dit/écrit par untel)&nbsp;;
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* La culture de l'hyper-objectivité (être au plus vrai, sans prendre parti)&nbsp;;
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* Les limites de l'autopromotion (faire sa propre pub)&nbsp;;
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* La non-discrimination radicale (les mêmes droits pour tout le monde)&nbsp;;
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* La certification par les pairs (je confirme ce qui est écrit par un autre)&nbsp;;
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* La hiérarchie de contributions, plutôt que la hiérarchie de statut&nbsp;;
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* La culture de la modération, où chaque proposition peut être remise en question&nbsp;;
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* La gestion citoyenne des bases de données, pour partager les patrimoines d'informations.
  
Le Wiki le plus connu est Wikipédia, lancé par la fondation Wikimédia qui est à l'origine de nombreux autres projets comme Wikiquote pour les citations des personnalités, Wikiversity pour les cours sous licence libre permettant à tout le monde d'accéder à la formation libre.
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=== Wiki : mode d'emploi  ===
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Le wiki est un type de plate-forme Internet créée pour que tout le monde puisse y participer. Une trace des contributions de chacun reste visible et un système de contrôle participatif doté d'un système d'alerte évite le vandalisme. Les Wikis peuvent notamment servir à définir notions et mots-clés comme dans une encyclopédie, mais leur usage est plus étendu encore. Il peut ainsi s'appliquer à un projet commun à un groupe donné, comme l'élaboration d'une lettre, la diffusion d'une pétition, la rédaction d'un livre ou d'un mode d'emploi, l'écriture d'un manifeste ou d'un scénario de cours.  
  
Les plateformes web de type Wiki sont aussi utilisées par d'autres groupes comme Ékopédia, l'encyclopédie des pratiques durables. N'importe quelle personne ou organisation peut installer un logiciel Wiki sur un serveur en choisissant le nombre de langues, le système d'alertes et le contrôle de l'information à sa guise, en donnant accès à tous les internautes s'il le souhaite.  
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Le wiki le plus connu est ''Wikipédia'', lancée par la fondation Wikimédia, elle-même à l'origine de nombreux autres projets&nbsp;: Wikiquote, recueil de citations, ou Wikiversity – une communauté pédagogie libre, accessibles à tous.  
  
C'est comme ça que de nombreux projets concurrents ou complémentaires à Wikipédia ont apparu ces dernières années. Même s'ils sont moins connus, certains sont tout aussi intéressants et très utiles dans la culture participative et citoyenne sur Internet.
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Les plate-formes Internet de type wiki sont aussi utilisées par d'autres groupes parmi lesquels Ékopédia, l'encyclopédie des pratiques durables. Tout individu ou organisation peut installer un logiciel wiki sur un serveur et choisir à sa guise le nombre de langues disponibles, le système d'alertes et le mode de contrôle de l'information adopté. L'initiateur de la plate-forme wiki peut s'il le souhaite laisser tous les internautes y accéder.  
  
Une dernière chose: prenez le temps de lire les modes d'emploi! '''''Le wiki est le royaume des chevaliers qui savent lire.'''''
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Le premier wiki a été créé en 1995 par Ward Cunningham afin de réaliser la section d'un site dédiée à la programmation informatique, qu'il a appelée WikiWikiWeb. Son créateur décida de la baptiser ainsi en référence au mot hawaïen «&nbsp;wikiwiki&nbsp;» qui signifie «&nbsp;très vite&nbsp;». La revue ''The Economist'' a cependant remarqué que le mot wiki peut être interprété comme l'acronyme de «&nbsp;''What I Know Is''&nbsp;» (littéralement&nbsp;: «&nbsp;Ce que je sais est&nbsp;» ou «&nbsp;Voici ce que je sais&nbsp;»).
  
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Ces dernières années sont apparus de nombreux projets concurrents ou complémentaires de Wikipédia. Même s'ils ne bénéficient pas de la même notoriété, certains d'entre eux sont tout aussi intéressants et très utiles à la culture participative et citoyenne qui se développe sur Internet.
  
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal
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Un dernier conseil&nbsp;: partout où vous passerez, prenez le temps de lire les modes d'emploi. Le wiki est le royaume des chevaliers qui savent lire.  
  
http://fr.ekopedia.org/Accueil.0
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'''Image présente sur le fichier word et manquante sur le wiki'''
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== Sources ==
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* [http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal Page d'accueil de Wikipédia]
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* [http://fr.ekopedia.org/Accueil Page d'accueil d'Ékopédia]

Version actuelle datée du 12 août 2012 à 20:33

Connaissances, information, bien commun, partage, contribution


Le mystère du savoir

L'histoire du savoir est une histoire de mystères. Dans l'Europe médiévale, la connaissance était réservée à une toute petite minorité de privilégiés : les moines d'abord, qui enfermaient leurs ouvrages savants dans d'immenses bibliothèques privées ; quelques aristocrates aussi, férus de sciences, de littérature ou de langues étrangères, qui avaient la possibilité de se procurer les quelques manuscrits en circulation. Il s'agissait alors du seul support à même de transmettre des informations.

Les livres étaient particulièrement onéreux et leurs lecteurs potentiels guère abondants, d'autant que la plupart des textes étaient rédigés en latin.

C'est avec l'invention de l'imprimerie, au xve siècle, que tout s'accéléra. Plus nombreux, moins coûteux, les livres feront progressivement l'objet de traductions qui les rendront plus accessibles. Mais il faudra attendre encore longtemps avant que l'ensemble d'une population puisse disposer de l'instruction nécessaire (apprentissage de la lecture) – pour que le savoir, soit en somme, démocratisé au fil des siècles, soit enfin considéré comme un bien commun.

Le partage des connaissances a trouvé dans Internet son média d'élection. Avec le Web, ce sont toutes les classes sociales, toutes les nationalités, tous les âges qui peuvent avoir accès à une somme d'informations gratuites et infiniment étendues. La circulation des connaissances n'est plus contrôlée par un petit nombre d'érudits : elle est dynamisée par la masse des internautes, sans restriction.

Le numérique a révolutionné notre conception du savoir et du partage de l'information (voir également Fracture numérique).

Des cités murailles aux encyclopédies virtuelles

Les encyclopédies telles que Wikipédia ou Ékopédia sont l'illustration parfaite de cette nouvelle compréhension du savoir : chacun peut en bénéficier et surtout y contribuer. Plus précise et exhaustive que jamais, l'information est universellement disponible. L'irruption d'un média aussi innovant a sur la société des répercussions multiples et fondamentales.

Les encyclopédies participatives permettent à tout un chacun d'accéder à l'échange d'informations, à l'explication et à la définition de notions essentielles et de pratiques durables. Cette contribution permanente permet la mise en place d'un nouveau fonctionnement social, basé sur l'entraide et le partage, sur le nivellement des différences sociales et sur la relativisation des distances géographiques. Elle autorise un partage du savoir détaché des questions de religion, de couleur, de sexe, de nationalité ou encore de classe sociale.

L'apprentissage par l'expérience

À nouvel outil, nouvelles compétences, qui se conjuguent volontiers en simultané. Ainsi l'expertise technique qui permet d'éditer une page dans un wiki s'enrichit-elle de la compétence sociale ainsi mise en œuvre, déployée dans un écosystème d'intelligence collective par interaction et confrontation de vision. Dans le même temps, le respect de règles d'éthique aide à prendre conscience de l'importance de chacune de nos actions.

La communauté du libre revendique :

  • La citation des sources (ce que j'écris a été dit/écrit par untel) ;
  • La culture de l'hyper-objectivité (être au plus vrai, sans prendre parti) ;
  • Les limites de l'autopromotion (faire sa propre pub) ;
  • La non-discrimination radicale (les mêmes droits pour tout le monde) ;
  • La certification par les pairs (je confirme ce qui est écrit par un autre) ;
  • La hiérarchie de contributions, plutôt que la hiérarchie de statut ;
  • La culture de la modération, où chaque proposition peut être remise en question ;
  • La gestion citoyenne des bases de données, pour partager les patrimoines d'informations.

Wiki : mode d'emploi

Le wiki est un type de plate-forme Internet créée pour que tout le monde puisse y participer. Une trace des contributions de chacun reste visible et un système de contrôle participatif doté d'un système d'alerte évite le vandalisme. Les Wikis peuvent notamment servir à définir notions et mots-clés comme dans une encyclopédie, mais leur usage est plus étendu encore. Il peut ainsi s'appliquer à un projet commun à un groupe donné, comme l'élaboration d'une lettre, la diffusion d'une pétition, la rédaction d'un livre ou d'un mode d'emploi, l'écriture d'un manifeste ou d'un scénario de cours.

Le wiki le plus connu est Wikipédia, lancée par la fondation Wikimédia, elle-même à l'origine de nombreux autres projets : Wikiquote, recueil de citations, ou Wikiversity – une communauté pédagogie libre, accessibles à tous.

Les plate-formes Internet de type wiki sont aussi utilisées par d'autres groupes parmi lesquels Ékopédia, l'encyclopédie des pratiques durables. Tout individu ou organisation peut installer un logiciel wiki sur un serveur et choisir à sa guise le nombre de langues disponibles, le système d'alertes et le mode de contrôle de l'information adopté. L'initiateur de la plate-forme wiki peut s'il le souhaite laisser tous les internautes y accéder.

Le premier wiki a été créé en 1995 par Ward Cunningham afin de réaliser la section d'un site dédiée à la programmation informatique, qu'il a appelée WikiWikiWeb. Son créateur décida de la baptiser ainsi en référence au mot hawaïen « wikiwiki » qui signifie « très vite ». La revue The Economist a cependant remarqué que le mot wiki peut être interprété comme l'acronyme de « What I Know Is » (littéralement : « Ce que je sais est » ou « Voici ce que je sais »).

Ces dernières années sont apparus de nombreux projets concurrents ou complémentaires de Wikipédia. Même s'ils ne bénéficient pas de la même notoriété, certains d'entre eux sont tout aussi intéressants et très utiles à la culture participative et citoyenne qui se développe sur Internet.

Un dernier conseil : partout où vous passerez, prenez le temps de lire les modes d'emploi. Le wiki est le royaume des chevaliers qui savent lire.


Image présente sur le fichier word et manquante sur le wiki

Sources