Discussion:L'émergence du Copyleft : Différence entre versions

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(Aucune différence)

Version actuelle datée du 2 octobre 2011 à 00:50

A faire

- Supprimer faire certain fait sur RMS (un encadré avec biographie résumé serait mieux) - Expliquer qu'il s'agit de la grande clé pour comprendre la société de l'information et qu'on reviendra sur le concept dans tout le livre - Utiliser plus de source venant de RMS - Copier le préambule des statuts Yorg. - Ajouter Schéma liant propriétés socio-techniques, principes de neutralité et libertés fondamentales.

Remarques J-H Addor

Copyleft

Attention aux « faux bons » exemples ! Un gnou ne peut pas être aussi rapide qu’une antilope. C’EST une antilope. On ne parle pas d’un type d’animaux, mais d’une espèce. Qu’est-ce qu’une licence GPL ? Manque l’explication. Nécessaire de mentionner le symbole du copyleft (© à l’envers), en précisant qu’il est l’inverse du ©, qu’il n’est pas encore reconnu, etc. Fournir des éléments d’information.

P. 36 – Copyleft (suite, 2)

Le fond est bond, bien présenté, bien formulé, et intéressant. La forme est à parfaire (apparition subite d’un « Vous devez penser… ». Incohérence de prôner la neutralité du Net et de dire aux gens ce qu’ils doivent penser).

P. 37 – Copyleft (suite, 3, RMS faits réels)

On aborde ici les faits réels de RMS, car les 2 pages précédentes n’étaient garnies que d’inventions (faits non réels ?...). Attention, incohérence. L’astéroïde 9982… Est-ce que ça apporte réellement qqch. à la compréhension du Net par le plus grand nombre ? J’en doute et pense que cela peut être supprimé. Serait préférable (et profitable pour le lecteur) d’avoir une citation originale de RMS : On sent à nouveau un parti pris anti establishment : RMS est refoulé ! (sous des prétextes très douteux, comme ils sont présentés).

P. 38 – Copyleft (suite, 4, RMS faits réels, 2)

Attention à la façon de présenter le droit d’auteur – et vérifier le texte sous l’angle juridique. Ce n’est pas seulement « définir comment sera utilisée l’œuvre ». « gauche d’auteur » : ne veut rien dire – sinon apporter une traduction très boiteuse du double jeu de mot « copyleft ». Dans tout ce chapitre, manque la citation originale et centrale de RMS : « L'idée centrale du copyleft est de donner à quiconque la permission d'exécuter le programme, de le copier, de le modifier, et d'en distribuer des versions modifiées - mais pas la permission d'ajouter des restrictions de son cru. C'est ainsi que les libertés cruciales qui définissent le logiciel libre sont garanties pour quiconque en possède une copie ; elles deviennent des droits inaliénables]. » Richard Stallman


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Richard Stallman

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Le Manifeste GNU: http://www.gnu.org/gnu/manifesto.fr.html

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Source: Richard Stallman

freeedom 2 help other freedom 3 share with community

it's about the ethical & social system, not technical

Quatre raisons pourlesquelles les écoles devraient utilisent des logiciels libres

1. save money, because schools are limited by budget if the school get a copy, the school system can send copy to all other schools

2. pour respecter la mission des écoles d'éduquer les étudiants à être des citoyens actifs d'une société où le choix est possible pour éviter la dépendance à des logiciels qui privent les étudiants de leur libertés et les habituent à cette dépendance permanente c'est comme les rendre dépend à une drogue, avec la première dose gratuite proposer un mix libre/privateur c'est comme proposer dans les écoles au repas de midi de l'eau et du whisky, des épinards et du tabac

Pourquoi l'école n'adopte pas les logiciels libre à l'échelle des gouvernement ? Parce que l'inertie sociale montre que les écoles disent "si les nouveaux étudiants utilisent les logiciels libres, les étudiants qui sont déjà dans l'école ne sauront pas utiliser ces nouveaux environnements logiciels libres. De plus si les étudiants apprennent à utiliser des logiciels libres, ils seront inemployables car les entreprises utilisent les logiciels privateurs et cherchent des personnes qui savent les utiliser.

les écoles devraient avoir le courage de dire qu'ils sont ceux qui donnent l'impulsion


3. pour le plaisir de tester le code logiciel avec les logiciels privateurs, les étudiants qui demandent à l'enseignant comment fonctionne le logiciel privateur, l'enseignant est obligé de répondre qu'il n'a pas l'accès à la recette donc l'étudiant ne peut pas apprendre pour apprendre, il faut accéder au code et pouvoir s'entraider et partager avec des autres, qui sont les libertés 2 et 3


4. pour l'esprit du partage de l'information l'école devrait encourager l'esprit du partage concrètement


Les gouvernements financent directement ou indirectement la grande majorité des travaux éducatifs. Ces travaux éducatifs (références, encyclopédie, modes d'emploi, supports de cours, recettes...) devraient être sous licence libre.

Aujourd'hui libre et privatifs coexistent, au niveau logiciels spécifiquement et dans la culture numérique en général. C'est comme une société où humains libres et esclaves coexistent. Ce n'est pas comme deux peuples avec deux culture. Depuis toujours, le problème des libérateurs d'esclaves c'est que les esclaves à qui ils s'adressent ne comprennent pas ce qu'est la liberté, car ils n'y sont pas habitués. Même si on la leur offre, il leur est très difficile d'accepter l'absence de maitre qui leur impose des situations de dépendance. C'est malheureusement le même type de difficulté que rencontrent les citoyens du net qui essaient de sensibiliser les internautes inconscients de leur statut de citoyens du net et du choix qu'ils ont entre culture et logiciels libres versus privateurs.