Netizenship kesako ? : Différence entre versions

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"Le monde n'est pas malade, il enfante." Xavier Sallantin
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L'expression '''eCulture''' désigne les comportements et les pratiques dans un écosystème numérique, tant au niveau individuel que collectif. Par exemple, la manière de traiter les courriels, de partager des informations sur le Web, de gérer la formation à distance, d'animer une communauté virtuelle...
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L'eCulture est un domaine [[transdisciplinarité|transdisciplinaire]], à cheval sur plusieurs sciences sociales et techniques.  
  
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Sémantiquement, eCulture est le condensé de « [[culture]] de la [[communication]] par voie numérique ». Le "e" symbolise l'[[électronique numérique]], comme dans eCommerce, ePortfolio...
  
Le terme "[Netizen]" a été utilisé dès les années 1990 pour parler des '''citoyens d'Internet'''.
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En matière d'[[orthographe]], la tendance croissante est à l'usage de eCulture plutôt que e-culture, [[Cyberfolio|ePortfolio]] plutôt que e-portfolio, bien qu'on utilise plus [[Commerce électronique|e-Commerce]] que eCommerce...  
Si le terme [politique] signifie ''vie de la cité'', on peut dire que [netizenship] signifie "vie de la cité à l'ère du numérique".  
 
Or, tout acte de relation sociale est citoyen. Pas seulement le fait de voter. Par exemple :
 
  
* Nos choix de consommation,  
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Domaines d'usage : on utilise le terme eCulture tant dans les arts que dans l'économie, la science et la politique. Il existe diverses notions qui regroupent ce même [[paradigme]], telle que l'ère numérique, le monde digital, la [[société de l'information]], l'[[infosphère]] ou encore la [[cyberculture]].
* nos pratiques et nos lieux de vie,  
 
* notre lien aux animaux et aux plantes,  
 
* nos réactions aux problèmes de voisinage,  
 
* nos préférences en matière d'éducation...
 
  
Non seulement nous sommes tous des citoyens, mais en plus nous sommes tous des netizens. Mais qui en parle ? En ce passage de millénaire on parle beaucoup de développement durable, de responsabilité sociale des entreprises, de bonne gouvernance. Les concepts principaux sont notamment le respect des minorités et des espèces en voie d'extinction, l'adoption des énergies renouvelables, la qualité des conditions de travail, la non discrimination, le droit à des services de base pour tous (eau, air), l'écologie à l'échelle industrielle, etc.
 
La citoyenneté numérique fait partie de ces enjeux. Plus encore, cet ouvrage suggère l'idée que le '''numérique est le fil rouge des enjeux citoyens au travail, en famille, à l'école'''. C'est la clé centrale qui facilite nos pratiques dans tous les domaines : recherche, éducation, commerce, protection de la nature...
 
  
Mais Internet, c'est vaste, compliqué, alors ça peut faire un peu peur ou simplement être démotivant. Pourquoi s'aventurer dans ce Far West ? Qui ne s'est jamais senti impuissant et un peu bête face à ces satanées machines ? Qui n'a jamais perdu des fichiers importants ? Qui n'a jamais transféré à tous ses contacts un courriel de demande d'aide qu'il avait reçu d'un autre internaute, découvrant ensuite que c'était un canular ou un virus, propagé à l'insu de son plein gré ? Ah l'erreur, la bourde ! Aussi malpropre que de faire tomber un déchet en plastique dans une rivière. Doit-on se sentir coupable face à nos comportements maladroits ? Pas du tout ! Car ces maladresses ne sont qu'une étape, personnelle et collective. Pourquoi ne pas prendre cela comme un défi. Le défi de l'évolution vers plus d'habileté dans nos pratiques. Essayons de voir les choses ainsi : '''le monde n'est pas malade, il enfante''. Cet ouvrage donne des pistes pour expliquer pourquoi et comment accompagner cette transition, aider à l'accouchement d'une société plus durable en mettant plus de conscience dans la science. Il donne quelques outils pour mieux faire votre part d'actes citoyens, en connaissance de cause. Seuls parti pris : l'intérêt des générations futures et le plaisir de donner du sens à la vie au quotidien.
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Le terme "[Netizen]" a été utilisé dès les années 1990 pour parler des citoyens d'Internet. Il est issu de la contraction de ''Net'' (le réseau, Internet) et de ''citizen'' (citoyen). Quand on parle de ''[politique]'', on fait référence à la vie de la cité. Aussi, [netizenship] évoque la "vie de la cité à l'ère du numérique". Le mot ''politique'' est trop souvent associé aux affaires politiciennes, notamment de malversations, qui ternissent l'image des élus et perturbe le bon fonctionnement des institutions. Or, on peut aborder sous l'angle citoyen tout acte de relation sociale, pas uniquement le fait de voter. Par exemple :
  
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* notre consommation (nos choix en la matière peuvent être des actes politiques)
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* nos relations avec nos voisins (dynamiques communautaires)
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* notre relation avec la nature (animaux, plantes)
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* nos principes de base (règles en famille, à l'école, au travail).
  
ENCART
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En occident, Internet fait maintenant partie du quotidien de beaucoup d'entre nous. A ce titre, non seulement nous sommes tous des citoyens de nos propres états, mais en plus nous sommes tous des ''netizens''. Qui en parle ?
Avis aux francophones.  
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En ce début de millénaire, les médias évoquent abondamment le ''développement durable'', la ''responsabilité sociale des entreprises'', la ''bonne gouvernance''. Les préoccupations les plus brûlantes sont notamment le respect des minorités et des espèces animales ou végétales en voie d'extinction, l'adoption des énergies renouvelables, la qualité des conditions de travail, la non-discrimination, le droit à des services de base pour tous (alimentation, eau, air), l'écologie dans le domaine industriel, etc.
On peut traduire Netizen en français par '''netoyen''', ce qui donne '''netoyenneté''' pour netizenship.  
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La citoyenneté numérique fait partie intégrante de ces enjeux. Plus encore, cet ouvrage suggère que le numérique est en phase de devenir le fil rouge des enjeux citoyens au travail, en famille ou à l'école. C'est la clef de voûte qui pourrait faciliter nos pratiques dans tous les domaines : recherche, éducation, commerce, protection de la nature...
Si l'essentiel des termes et notions clés dans cet ouvrage sont en français, le terme netizen est l'exception qui confirme la règle.
 
  
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Les outils numériques évoluent tellement vite qu'ils peuvent faire peur ou être simplement démotivants. A quoi bon se mettre à jour si tout est différent le lendemain ? Pourquoi s'aventurer dans ce ''Far West''  ? Qui ne s'est jamais senti impuissant et un peu bête face à de ''satanées machines'' ? Qui n'a jamais perdu des fichiers importants ? Qui n'a jamais transféré à ses contacts un courriel de demande d'aide reçu d'un autre internaute, découvrant ensuite que c'était un canular ou un virus, propagé ''à l'insu de son plein gré'' ? Ah l'erreur, la bourde ! Aussi malpropre que de faire tomber un déchet en plastique dans une rivière !
  
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Doit-on se sentir coupables face à nos comportements maladroits ? Pas du tout ! Car ces maladresses ne sont qu'une étape, personnelle et collective. Pourquoi ne pas prendre cela comme un défi ? Le défi d'une évolution vers plus d'habileté dans nos pratiques en société.
'''Sources'''
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Essayons de voir les choses ainsi : ''le monde n'est pas malade, il enfante''. Cet ouvrage donne des pistes pour expliquer pourquoi et comment accompagner cette transition, comment favoriser l'accouchement d'une société plus durable en mettant plus de conscience dans la (techno)science. Il donne quelques outils pour mieux faire votre part d'actes citoyens, en connaissance de cause. Notre seul parti pris : se concentrer sur des faits, le plus objectivement possible, au service de l'intérêt des générations futures. C'est un message d'espoir. Concrètement, espérons que demain l'éducation au civisme intégrera aussi les enjeux du civisme dans ce nouvel espace citoyen qu'est Internet.
  
http://www.columbia.edu/~hauben/text/WhatIsNetizen.html
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=== Générique ===
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'''Iconographie'''
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== Citations diverses (en option) ==
 
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"Le monde n'est pas malade, il enfante." Xavier Sallantin, inspiré par Teilhard de Chardin.
http://img.tfd.com/cde/_TOON19.GIF
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== Encart-s (en option) ==
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Avis aux francophones. On peut traduire Netizen en français par netoyen, ce qui donne netoyenneté pour netizenship. Si l'essentiel des termes et des notions clés de cet ouvrage sont en français, le terme netizen est l'exception qui confirme la règle.
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== Iconographie (en option) ==
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== Sources (en option) ==
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== Autres documents pour usages complémentaires (en option) ==
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Version actuelle datée du 4 septembre 2010 à 10:14

Reste à faire

Non disponible pour le moment

Titres et intros alternatives

eCulture & netizenship

Corps de l'article

L'expression eCulture désigne les comportements et les pratiques dans un écosystème numérique, tant au niveau individuel que collectif. Par exemple, la manière de traiter les courriels, de partager des informations sur le Web, de gérer la formation à distance, d'animer une communauté virtuelle... L'eCulture est un domaine transdisciplinaire, à cheval sur plusieurs sciences sociales et techniques.

Sémantiquement, eCulture est le condensé de « culture de la communication par voie numérique ». Le "e" symbolise l'électronique numérique, comme dans eCommerce, ePortfolio...

En matière d'orthographe, la tendance croissante est à l'usage de eCulture plutôt que e-culture, ePortfolio plutôt que e-portfolio, bien qu'on utilise plus e-Commerce que eCommerce...

Domaines d'usage : on utilise le terme eCulture tant dans les arts que dans l'économie, la science et la politique. Il existe diverses notions qui regroupent ce même paradigme, telle que l'ère numérique, le monde digital, la société de l'information, l'infosphère ou encore la cyberculture.


Le terme "[Netizen]" a été utilisé dès les années 1990 pour parler des citoyens d'Internet. Il est issu de la contraction de Net (le réseau, Internet) et de citizen (citoyen). Quand on parle de [politique], on fait référence à la vie de la cité. Aussi, [netizenship] évoque la "vie de la cité à l'ère du numérique". Le mot politique est trop souvent associé aux affaires politiciennes, notamment de malversations, qui ternissent l'image des élus et perturbe le bon fonctionnement des institutions. Or, on peut aborder sous l'angle citoyen tout acte de relation sociale, pas uniquement le fait de voter. Par exemple :

  • notre consommation (nos choix en la matière peuvent être des actes politiques)
  • nos relations avec nos voisins (dynamiques communautaires)
  • notre relation avec la nature (animaux, plantes)
  • nos principes de base (règles en famille, à l'école, au travail).

En occident, Internet fait maintenant partie du quotidien de beaucoup d'entre nous. A ce titre, non seulement nous sommes tous des citoyens de nos propres états, mais en plus nous sommes tous des netizens. Qui en parle ? En ce début de millénaire, les médias évoquent abondamment le développement durable, la responsabilité sociale des entreprises, la bonne gouvernance. Les préoccupations les plus brûlantes sont notamment le respect des minorités et des espèces animales ou végétales en voie d'extinction, l'adoption des énergies renouvelables, la qualité des conditions de travail, la non-discrimination, le droit à des services de base pour tous (alimentation, eau, air), l'écologie dans le domaine industriel, etc. La citoyenneté numérique fait partie intégrante de ces enjeux. Plus encore, cet ouvrage suggère que le numérique est en phase de devenir le fil rouge des enjeux citoyens au travail, en famille ou à l'école. C'est la clef de voûte qui pourrait faciliter nos pratiques dans tous les domaines : recherche, éducation, commerce, protection de la nature...

Les outils numériques évoluent tellement vite qu'ils peuvent faire peur ou être simplement démotivants. A quoi bon se mettre à jour si tout est différent le lendemain ? Pourquoi s'aventurer dans ce Far West  ? Qui ne s'est jamais senti impuissant et un peu bête face à de satanées machines ? Qui n'a jamais perdu des fichiers importants ? Qui n'a jamais transféré à ses contacts un courriel de demande d'aide reçu d'un autre internaute, découvrant ensuite que c'était un canular ou un virus, propagé à l'insu de son plein gré ? Ah l'erreur, la bourde ! Aussi malpropre que de faire tomber un déchet en plastique dans une rivière !

Doit-on se sentir coupables face à nos comportements maladroits ? Pas du tout ! Car ces maladresses ne sont qu'une étape, personnelle et collective. Pourquoi ne pas prendre cela comme un défi ? Le défi d'une évolution vers plus d'habileté dans nos pratiques en société. Essayons de voir les choses ainsi : le monde n'est pas malade, il enfante. Cet ouvrage donne des pistes pour expliquer pourquoi et comment accompagner cette transition, comment favoriser l'accouchement d'une société plus durable en mettant plus de conscience dans la (techno)science. Il donne quelques outils pour mieux faire votre part d'actes citoyens, en connaissance de cause. Notre seul parti pris : se concentrer sur des faits, le plus objectivement possible, au service de l'intérêt des générations futures. C'est un message d'espoir. Concrètement, espérons que demain l'éducation au civisme intégrera aussi les enjeux du civisme dans ce nouvel espace citoyen qu'est Internet.

Générique

Non disponible pour le moment

Dominant

Non disponible pour le moment

Citoyen

Non disponible pour le moment

Citations diverses (en option)

"Le monde n'est pas malade, il enfante." Xavier Sallantin, inspiré par Teilhard de Chardin.

Encart-s (en option)

Avis aux francophones. On peut traduire Netizen en français par netoyen, ce qui donne netoyenneté pour netizenship. Si l'essentiel des termes et des notions clés de cet ouvrage sont en français, le terme netizen est l'exception qui confirme la règle.

Iconographie (en option)

Non disponible pour le moment

Sources (en option)

Non disponible pour le moment

Autres documents pour usages complémentaires (en option)

Non disponible pour le moment