La simplicité volontaire : Différence entre versions

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Depuis le début de l'humanité jusque vers la fin du XVIIIème siècle, les humains ont toujours été environ 300 millions sur terre (à vérifier). Ensuite, on a développé des technologies accélératrices et aujourd'hui en l'an 2000, on a passé la barre des 6 milliards, soit une croissance exponentielle après un équilibre de plusieurs milliers d'années à environ vingt fois moins d'êtres humains sur terre.
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Depuis le début de l'humanité jusque vers la fin du XVIIIème siècle, le nombre d'êtres humains n'a que très peu augmenté, ils ont toujours été environ 300 millions sur terre (à vérifier). Mais au cours des trois derniers siècles, la population mondiale a été multipliée par 20, atteignant le nombre de 6 milliards. Après des millénaires de stabilité, cette croissance exponentielle est due au développement des technologies accélératrices.
  
Avant ce développement technologique, les humains avaient l'habitude de se faire la guerre, d'avoir des grandes maladies comme la peste qui tuaient une bonne partie de la population, de mourir très jeune (en moyenne entre 35 et 50 ans suivant les régions et l'époque) et pour la plupart d'être dans un état de semi-esclavage surtout les femmes et les paysans, l'accès à la culture était minimum, aucun loisir, du travail tout le temps. Ça c'est pour la partie négative du tableau.  
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La période précédente était caractérisé par un mode vie totalement différent.  
  
Regardons un peu les aspects positifs: les gens vivaient globalement tranquilles, heureux, ils pouvaient prendre le temps de vivre en harmonie avec la nature, d'apprendre les propriétés curatives des plantes et des minéraux, de vivre en équilibre avec les saisons, de construire un foyer en voyant leurs enfants toute la journée, de travailler à leur rythme et en fonction de la météo. Ils voyageaient beaucoup moins, mais ils connaissaient bien où ils habitaient. Ils pouvaient nager dans les rivières, la nourriture était saine, la pollution n'existait presque pas, et même s'il y avait des guerres, globalement les gens étaient beaucoup plus en paix.  
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La partie négative du tableau était composée de guerre, de grandes épidémies, d'une espérance de vie très courte (entre 35 et 50 ans). Une grande partie de la population vivait dans un état de semi-esclavage (les femmes et les paysans principalement). Elle n'avait pas accès à la culture, aux loisirs, et devait travailler tout le temps.  
  
En raison de tous les points négatifs décrits plus hauts, de la nature curieuse et entreprenante de l'être humain, on s'est mis à utiliser du charbon qui nous a permis de construire des chaudières et de les utiliser pour fabriquer les premiers trains. On a aussi inventé la photographie et puis l'électricité, le téléphone; les grandes inventions du XIXème siècle. Et puis avec ces inventions on est allé encore plus loin: on a utilisé l'électricité pour faire fonctionner des ondes ce qui a donné la radio et la télévision. Ensuite on a miniaturisé tous ces systèmes d'information pour donner naissance à l'électronique et au numérique. Parallèlement on a  découvert le pétrole, on a appris à le raffiner avec subtilité, pas seulement pour les voitures et les avions mais aussi pour des produits absolument magiques comme le plastic des claviers d'ordinateur et des composants très subtils pour des microscopes, des fusées, des centrales nucléaires, etc. Et puis après les deux guerres mondiales du début du XXème siècle, il y a eu trente années qu'on a surnommées les « trente glorieuses ». Tout se développait partout sur terre. Les pays colonisés devenaient indépendants, les pays industrialisés donnaient des frigos, des voitures et des téléphones à toutes les familles. C'était l'heure des congés payés, des loisirs, de la culture, de la créativité, de la famille. Mais à partir des années 80 il y a eu de plus en plus de sonnettes d'alarmes qui nous ont dit que les ressources étaient limitées, que la pollution était excessive et qu'il fallait mettre un frein. C'est la que toutes les technologies qui accéléraient les mouvement étaient devenus non plus des sources positives mais aussi des sources de problèmes parce que c'est devenu comme une drogue: toujours plus. Une dictature de l'immédiat, tyrannie de l'instant, impatience générale, fastfood, journaux gratuits, changer de téléphone toutes les années, obsolescence programmée des machines par les fabricants, meubles IKEA qui ne durent pas plus de dix à vingt ans: le monde est devenu une grande poubelle.  
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La partie positive nous enseigne que les gens vivaient globalement tranquilles et heureux. Ils étaient en harmonie avec la nature, connaissaient les propriétés curatives des plantes et des minéraux et vivaient au rythme des saisons. Ils partageaient beaucoup de temps avec leur famille. Ils voyageaient beaucoup moins, mais ils connaissaient bien où ils habitaient. Ils pouvaient nager dans les rivières, la nourriture était saine, la pollution n'existait presque pas. Même s'il y avait des guerres, les gens étaient globalement beaucoup plus en paix.  
  
Si on se concentre sur toutes ces technologies qui accélèrent, on se rend compte que sans électricité et sans moteurs on ne peut plus faire grand chose, on retombe à l'époque d'avant le XVIIIème siècle. Ce n'est pas l'âge des cavernes mais ce n'est pas non plus le confort moderne. Il fait froid, on ne peut pas voyager sur de longues distances en peu de temps, on a plus accès à la médecine moderne, bref, difficile de revenir en arrière. Néanmoins, il est possible de limiter le confort à son stricte minimum, d'entrer dans une culture de sobriété heureuse, de simplicité volontaire, tout en bénéficiant des miracles de la science moderne de ces 200 dernières années mais à consommer avec beaucoup de modération. Un gros problème de santé? Hop, un examen médical est nécessaire, vive les technologies accélératrices. Avec le laser, les rayons X et autres systèmes de scann ultra-sophistiqués. Un proche est malade, il ne lui reste plus que quelques jours à vivre? Fiout, prenons un train à grande vitesse voir même un avion. Mais dans la vie de tous les jours, est-ce vraiment nécessaire? Ne pouvons nous pas entrer dans cette culture de consommation modérée en évitant les gadgets et les technologies accélératrices inutiles? En réduisant l'obsession du nouveau, du rapide, pour se dédier pus à l'écoute de soi et du monde et pour reconstruire au XXIème siècle ce que nous avons détruit au XXème? Est-ce possible de bien vivre en refusant la dynamique de développement à tout prix pour retrouver la dynamique d'équilibre et d'harmonie entre l'homme et la nature?
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Dans un soucis d'aller plus vite et de dépasser les inégalités décrites plus haut, l'homme chercha une nouvelle source d'énergie. Finie la dépendance à la nature, l'utilisation du charbon permit de faire fonctionner les premières chaudières et circuler les premiers trains.
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Le XIXème siècle nous offrit ses grandes inventions: la photographie, l'électricité et le téléphone.
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A partir de là, le rythme s'accéléra, l'électricité permit d'émettre les premières ondes, qui elles-même donnèrent naissance à la radio et à la télévision.
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La miniaturisation de tous ces systèmes d'information permirent le développement de l'électronique et du numérique.
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Parallèlement la découverte du pétrole et la maîtrise des techniques de raffinage déboucha de nouvelles inventions. Cela offrit du carburant à nos voitures et à nos avions. On découvrit le plastique, développa nos équipements (ordinateurs, microscopes), imagina la fusée, construisit des centrales nucléaires, etc.
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Après les deux guerres mondiales, au début du XXème siècle, le rythme s'accéléra de nouveau. Durant les « trente glorieuses », tout se développait partout sur terre. Les pays colonisés accédaient à l'indépendance La consommation s'emparait des pays industrialisés. Les familles s'équipaient de frigos, de voitures et de téléphones. C'était l'époque de l'abondance et du progrès: congés payés, développement des loisirs et de la culture, stimulation de la créativité, redéfinition de la famille.
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A partir des années 80,  les premières sonnettes d'alarmes retentirent:
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« Les ressources sont limitées! »
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« La pollution est excessive! »
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« Il faut mettre un frein! »
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Les technologies qui accéléraient le mouvement sont passé du statut de sources de progrès à  sources de problèmes. La société était droguée, elle en voulait toujours plus.
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Est venu le temps de la dictature de l'immédiat, de la tyrannie de l'instant, de l'impatience générale, des fastfood, des journaux gratuits, des téléphones jetables tous les ans, des machines aux pannes programmées par les fabricants, des meubles IKEA usés au bout de dix ans. Epoque du tout achetable, tout jetable: le monde est devenu une grande poubelle.
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L'étude de ces technologies qui accélèrent, nous montre l'électricité et les moteurs sont à l'origine  de presque tous les changements. Sans ces deux inventions, on ne peut plus faire grand chose, on fait un bond dans le passé, avant le XIXème siècle (à vérifier). Sans comparer cette époque à l'âge, on ne peut pas non plus parler du confort moderne.  
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Il faisait froid dans les maisons. Voyager prenait beaucoup de temps. La médecine moderne n'était qu'à ses débuts. Il nous serait très difficile de revenir en arrière.  
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Néanmoins, nous pourrions:
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*vivre avec beaucoup moins,
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*entrer dans une culture de sobriété heureuse,
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*limiter le confort à son strict minimum,  
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*entrer dans une démarche de simplicité volontaire,  
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sans pour autant se priver des miracles de la science moderne. Nous devrions consommer avec beaucoup de modération ces 200 dernières années de progrès.  
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Un gros problème de santé?  
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Hop, un examen médical est nécessaire, vive les technologies accélératrices! Le laser, les rayons X et autres systèmes de scann ultra-sophistiqués sont à notre service.  
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Un proche est malade, il ne lui reste plus que quelques jours à vivre?  
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Fiout, prenons un train à grande vitesse voir même un avion.  
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Cependant, nous n'avons pas besoin de ces technologies tous les jours.
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Ne serions-nous pas capable de ne consommer  que le nécessaire?
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Ne pouvons nous pas éviter les gadgets et les technologies accélératrices inutiles?  
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Nous le pouvons, et simplement!
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En réduisant l'obsession du nouveau et du rapide, en se dédiant l'écoute de soi et du monde, nous pourrions reconstruire au XXIème siècle ce que nous avons détruit au XXème.
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Est-ce possible de bien vivre en refusant la dynamique de développement effréné?
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Peut-on retrouver la dynamique d'équilibre et d'harmonie entre l'homme et la nature?
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Ecopol propose des solutions pour répondre à toutes ces questions positivement.
  
  

Version du 6 février 2011 à 15:28

Depuis le début de l'humanité jusque vers la fin du XVIIIème siècle, le nombre d'êtres humains n'a que très peu augmenté, ils ont toujours été environ 300 millions sur terre (à vérifier). Mais au cours des trois derniers siècles, la population mondiale a été multipliée par 20, atteignant le nombre de 6 milliards. Après des millénaires de stabilité, cette croissance exponentielle est due au développement des technologies accélératrices.

La période précédente était caractérisé par un mode vie totalement différent.

La partie négative du tableau était composée de guerre, de grandes épidémies, d'une espérance de vie très courte (entre 35 et 50 ans). Une grande partie de la population vivait dans un état de semi-esclavage (les femmes et les paysans principalement). Elle n'avait pas accès à la culture, aux loisirs, et devait travailler tout le temps.

La partie positive nous enseigne que les gens vivaient globalement tranquilles et heureux. Ils étaient en harmonie avec la nature, connaissaient les propriétés curatives des plantes et des minéraux et vivaient au rythme des saisons. Ils partageaient beaucoup de temps avec leur famille. Ils voyageaient beaucoup moins, mais ils connaissaient bien où ils habitaient. Ils pouvaient nager dans les rivières, la nourriture était saine, la pollution n'existait presque pas. Même s'il y avait des guerres, les gens étaient globalement beaucoup plus en paix.

Dans un soucis d'aller plus vite et de dépasser les inégalités décrites plus haut, l'homme chercha une nouvelle source d'énergie. Finie la dépendance à la nature, l'utilisation du charbon permit de faire fonctionner les premières chaudières et circuler les premiers trains.

Le XIXème siècle nous offrit ses grandes inventions: la photographie, l'électricité et le téléphone. A partir de là, le rythme s'accéléra, l'électricité permit d'émettre les premières ondes, qui elles-même donnèrent naissance à la radio et à la télévision. La miniaturisation de tous ces systèmes d'information permirent le développement de l'électronique et du numérique.

Parallèlement la découverte du pétrole et la maîtrise des techniques de raffinage déboucha de nouvelles inventions. Cela offrit du carburant à nos voitures et à nos avions. On découvrit le plastique, développa nos équipements (ordinateurs, microscopes), imagina la fusée, construisit des centrales nucléaires, etc.

Après les deux guerres mondiales, au début du XXème siècle, le rythme s'accéléra de nouveau. Durant les « trente glorieuses », tout se développait partout sur terre. Les pays colonisés accédaient à l'indépendance La consommation s'emparait des pays industrialisés. Les familles s'équipaient de frigos, de voitures et de téléphones. C'était l'époque de l'abondance et du progrès: congés payés, développement des loisirs et de la culture, stimulation de la créativité, redéfinition de la famille.

A partir des années 80, les premières sonnettes d'alarmes retentirent: « Les ressources sont limitées! » « La pollution est excessive! » « Il faut mettre un frein! »

Les technologies qui accéléraient le mouvement sont passé du statut de sources de progrès à sources de problèmes. La société était droguée, elle en voulait toujours plus. Est venu le temps de la dictature de l'immédiat, de la tyrannie de l'instant, de l'impatience générale, des fastfood, des journaux gratuits, des téléphones jetables tous les ans, des machines aux pannes programmées par les fabricants, des meubles IKEA usés au bout de dix ans. Epoque du tout achetable, tout jetable: le monde est devenu une grande poubelle.

L'étude de ces technologies qui accélèrent, nous montre l'électricité et les moteurs sont à l'origine de presque tous les changements. Sans ces deux inventions, on ne peut plus faire grand chose, on fait un bond dans le passé, avant le XIXème siècle (à vérifier). Sans comparer cette époque à l'âge, on ne peut pas non plus parler du confort moderne. Il faisait froid dans les maisons. Voyager prenait beaucoup de temps. La médecine moderne n'était qu'à ses débuts. Il nous serait très difficile de revenir en arrière.

Néanmoins, nous pourrions:

  • vivre avec beaucoup moins,
  • entrer dans une culture de sobriété heureuse,
  • limiter le confort à son strict minimum,
  • entrer dans une démarche de simplicité volontaire,

sans pour autant se priver des miracles de la science moderne. Nous devrions consommer avec beaucoup de modération ces 200 dernières années de progrès.

Un gros problème de santé? Hop, un examen médical est nécessaire, vive les technologies accélératrices! Le laser, les rayons X et autres systèmes de scann ultra-sophistiqués sont à notre service.

Un proche est malade, il ne lui reste plus que quelques jours à vivre? Fiout, prenons un train à grande vitesse voir même un avion.

Cependant, nous n'avons pas besoin de ces technologies tous les jours. Ne serions-nous pas capable de ne consommer que le nécessaire? Ne pouvons nous pas éviter les gadgets et les technologies accélératrices inutiles? Nous le pouvons, et simplement! En réduisant l'obsession du nouveau et du rapide, en se dédiant l'écoute de soi et du monde, nous pourrions reconstruire au XXIème siècle ce que nous avons détruit au XXème.

Est-ce possible de bien vivre en refusant la dynamique de développement effréné? Peut-on retrouver la dynamique d'équilibre et d'harmonie entre l'homme et la nature? Ecopol propose des solutions pour répondre à toutes ces questions positivement.


Sites de référence:

http://www.decroissance.org/

http://www.bien-vivre.org/