Netizenship kesako ? : Différence entre versions

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Le terme Netizen a été utilisé dès les années 1990 pour parler des '''citoyens d'Internet'''.  
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Le terme "[Netizen]" a été utilisé dès les années 1990 pour parler des '''citoyens d'Internet'''.  
Si le terme politique signifie "vie de la cité", on peut dire que le terme netizenship signifie "vie de la cité dans l'ère du numérique". Nous sommes tous des citoyens d'Internet. Or tout acte de relation sociale est citoyen. Pas seulement le fait de voter. Par exemple :  
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Si le terme [politique] signifie ''vie de la cité'', on peut dire que [netizenship] signifie "vie de la cité à l'ère du numérique".  
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Or tout acte de relation sociale est citoyen. Pas seulement le fait de voter. Par exemple :  
 
* Nos choix de consommations,  
 
* Nos choix de consommations,  
 
* nos pratiques et nos lieux de vie,  
 
* nos pratiques et nos lieux de vie,  
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* nos préférences en matière d'éducation...
 
* nos préférences en matière d'éducation...
  
En ce passage de millénaire on parle beaucoup de développement durable, de responsabilité sociale des entreprises, de bonne gouvernance. Les concepts principaux sont notamment le respect des minorités et des espèces en voie d'extinction, l'adoption des énergies renouvelables, la qualité des conditions de travail, la non discrimination, le droit à des services de base pour tous (eau, air), etc.
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Nous non seulement nous sommes tous des citoyens, mais en plus nous sommes tous des netizens. Mais qui en parle ? En ce passage de millénaire on parle beaucoup de développement durable, de responsabilité sociale des entreprises, de bonne gouvernance. Les concepts principaux sont notamment le respect des minorités et des espèces en voie d'extinction, l'adoption des énergies renouvelables, la qualité des conditions de travail, la non discrimination, le droit à des services de base pour tous (eau, air), l'écologie à l'échelle industrielle, etc.
La citoyenneté numérique fait partie de ces enjeux. Plus encore, cet ouvrage suggère l'idée que le '''numérique est le fil rouge''' des enjeux citoyens au travail, en famille, à l'école. C'est la clé centrale qui facilite nos pratiques dans tous les domaines : recherche, éducation, commerce, protection de la nature...  
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La citoyenneté numérique fait partie de ces enjeux. Plus encore, cet ouvrage suggère l'idée que le '''numérique est le fil rouge des enjeux citoyens au travail, en famille, à l'école'''. C'est la clé centrale qui facilite nos pratiques dans tous les domaines : recherche, éducation, commerce, protection de la nature...  
  
Mais Internet, c'est vaste, compliqué, alors ça peut faire un peu peur ou simplement être démotivant. Pourquoi s'aventurer dans ce far west ? Qui ne s'est jamais senti impuissant et un peu bête face à ces satanées machines ? Qui n'a jamais perdu des fichiers importants ? Qui n'a jamais transféré un courriel de demande d'aide à tous ses contacts, découvrant ensuite que c'était un canular ou un virus qui s'était propogé à l'insu de notre plein gré ? Doit-on se sentir coupable face à des comportements inconscients ? Pas du tout ! Car ces maladresses ne sont qu'une étape, personnelle et collective. Pourquoi ne pas prendre cela comme un défi. Le défi de l'évolution vers plus de conscience dans nos pratiques. Essayons de voir les choses ainsi : '''le monde n'est pas malade, il enfante''. Cet ouvrage donne des pistes pour expliquer pourquoi et comment accompagner ce changement, devenir renforcer son rôle dans la société, mettre plus de conscience dans la science. Il donne quelques outils pour mieux faire votre part d'actes citoyens, en connaissance de cause. Seuls parti pris : l'intérêt des générations futures et le plaisir de donner du sens à la vie au quotidien.
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Mais Internet, c'est vaste, compliqué, alors ça peut faire un peu peur ou simplement être démotivant. Pourquoi s'aventurer dans ce far west ? Qui ne s'est jamais senti impuissant et un peu bête face à ces satanées machines ? Qui n'a jamais perdu des fichiers importants ? Qui n'a jamais transféré à tous ses contacts un courriel de demande d'aide qu'il avait reçu d'un autre internaute, découvrant ensuite que c'était un canular ou un virus, propagé à l'insu de notre plein gré ? Ah l'erreur, la bourde ! Aussi malpropre que de faire tomber un déchet en plastique dans une rivière. Doit-on se sentir coupable face à nos comportements maladroits ? Pas du tout ! Car ces maladresses ne sont qu'une étape, personnelle et collective. Pourquoi ne pas prendre cela comme un défi. Le défi de l'évolution vers plus d'habileté dans nos pratiques. Essayons de voir les choses ainsi : '''le monde n'est pas malade, il enfante''. Cet ouvrage donne des pistes pour expliquer pourquoi et comment accompagner cette transition, aider à l'accouchement d'une société plus durable en mettant plus de conscience dans la science. Il donne quelques outils pour mieux faire votre part d'actes citoyens, en connaissance de cause. Seuls parti pris : l'intérêt des générations futures et le plaisir de donner du sens à la vie au quotidien.
  
 
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Version du 19 août 2010 à 19:00

Le terme "[Netizen]" a été utilisé dès les années 1990 pour parler des citoyens d'Internet. Si le terme [politique] signifie vie de la cité, on peut dire que [netizenship] signifie "vie de la cité à l'ère du numérique". Or tout acte de relation sociale est citoyen. Pas seulement le fait de voter. Par exemple :

  • Nos choix de consommations,
  • nos pratiques et nos lieux de vie,
  • notre lien aux animaux et aux plantes,
  • nos réactions aux problèmes de voisinages,
  • nos préférences en matière d'éducation...

Nous non seulement nous sommes tous des citoyens, mais en plus nous sommes tous des netizens. Mais qui en parle ? En ce passage de millénaire on parle beaucoup de développement durable, de responsabilité sociale des entreprises, de bonne gouvernance. Les concepts principaux sont notamment le respect des minorités et des espèces en voie d'extinction, l'adoption des énergies renouvelables, la qualité des conditions de travail, la non discrimination, le droit à des services de base pour tous (eau, air), l'écologie à l'échelle industrielle, etc. La citoyenneté numérique fait partie de ces enjeux. Plus encore, cet ouvrage suggère l'idée que le numérique est le fil rouge des enjeux citoyens au travail, en famille, à l'école. C'est la clé centrale qui facilite nos pratiques dans tous les domaines : recherche, éducation, commerce, protection de la nature...

Mais Internet, c'est vaste, compliqué, alors ça peut faire un peu peur ou simplement être démotivant. Pourquoi s'aventurer dans ce far west ? Qui ne s'est jamais senti impuissant et un peu bête face à ces satanées machines ? Qui n'a jamais perdu des fichiers importants ? Qui n'a jamais transféré à tous ses contacts un courriel de demande d'aide qu'il avait reçu d'un autre internaute, découvrant ensuite que c'était un canular ou un virus, propagé à l'insu de notre plein gré ? Ah l'erreur, la bourde ! Aussi malpropre que de faire tomber un déchet en plastique dans une rivière. Doit-on se sentir coupable face à nos comportements maladroits ? Pas du tout ! Car ces maladresses ne sont qu'une étape, personnelle et collective. Pourquoi ne pas prendre cela comme un défi. Le défi de l'évolution vers plus d'habileté dans nos pratiques. Essayons de voir les choses ainsi : 'le monde n'est pas malade, il enfante. Cet ouvrage donne des pistes pour expliquer pourquoi et comment accompagner cette transition, aider à l'accouchement d'une société plus durable en mettant plus de conscience dans la science. Il donne quelques outils pour mieux faire votre part d'actes citoyens, en connaissance de cause. Seuls parti pris : l'intérêt des générations futures et le plaisir de donner du sens à la vie au quotidien.


ENCART Avis aux francophones. On peut traduire Netizen en français par netoyen, ce qui donne netoyenneté pour netizenship. Si l'essentiel des termes et notions clés dans cet ouvrage sont en français, le terme netizen est l'exception qui confirme la règle.