Pourquoi le projet Ecopol va être un succès? : Différence entre versions
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| − | + | Parce qu'il réunit des spécialistes en écologie dite profonde, qui se reconnaissent dans les pièces du puzzle, qui sont décrites dans ce livre. Les spécialistes du logiciel libre se reconnaitront parce qu'ils savent que la qualité et la cohérence d'une démarche de gouvernance numérique/digitale sont basées sur le fait de parler des logiciels libres et non pas d'«open source», qui sont sur une culture du «copie left» profondément orientée «hiérarchie de compétence et non hiérarchie de contribution, avec des outils de «scoring» de dictature bienveillante et de modération associée à un système de vote de type condorsay pour les décisions essentielles et les élections. Au même titre, les spécialistes de l'agriculture, de l'écologie profonde, savent qu'il est important d'aborder l'agriculture, l'élevage et le respect de l'environnement sous l'angle biodynamique et thermaculturel. Et non pas uniquement biologique (que l'on dit «organic» en anglais). Au même titre, les bioconstructeurs de l'écologie profonde, qui, pour une bonne part, se nomment anarchitectes, savent qu'il est important d'aborder l'angle, non pas seulement des choix de matériaux, mais aussi de leurs liens avec les plantes vivantes, de la vision urbanistique globale et de l'aménagement des lieux de vie pour assurer une dynamique sociale enrichissante, ainsi que des flux de matière (traitement de l'eau, gestion énergétique...) particulièrement cohérents afin de traiter l'ensemble des questions de la construction écologique sous un angle profond et non pas seulement la dimension de l'économie d'énergie. | |
| − | Parce qu'il réunit des spécialistes en écologie dite profonde, qui se reconnaissent dans les pièces du puzzle, qui sont décrites dans ce livre. Les spécialistes du logiciel libre se reconnaitront parce qu'ils savent que la qualité et la cohérence d'une démarche de gouvernance numérique/digitale sont basées sur le fait de parler des logiciels libres et non pas d'«open source», qui sont sur une culture du «copie left» profondément orientée «hiérarchie de compétence et non hiérarchie de contribution, avec des outils de «scoring» de dictature bienveillante et de modération associée à un système de vote de type condorsay pour les décisions essentielles et les élections. | ||
Dans tous les autres domaines, éducatif, juridique, communicationnel, les mêmes questions se posent. C'est du fait qu'il existe des outils d'échange et d'argumentation sur les meilleurs pratiques, qui seront au cœur de la démarche d'Ecopol et offriront une archive vivante permanente, que nous pensons pouvoir réunir un ensemble de spécialistes motivés qui mettront le meilleur d'eux-mêmes pour donner vie à ce lieu et cette dynamique communautaire. | Dans tous les autres domaines, éducatif, juridique, communicationnel, les mêmes questions se posent. C'est du fait qu'il existe des outils d'échange et d'argumentation sur les meilleurs pratiques, qui seront au cœur de la démarche d'Ecopol et offriront une archive vivante permanente, que nous pensons pouvoir réunir un ensemble de spécialistes motivés qui mettront le meilleur d'eux-mêmes pour donner vie à ce lieu et cette dynamique communautaire. | ||
Version du 25 décembre 2010 à 14:51
Parce qu'il réunit des spécialistes en écologie dite profonde, qui se reconnaissent dans les pièces du puzzle, qui sont décrites dans ce livre. Les spécialistes du logiciel libre se reconnaitront parce qu'ils savent que la qualité et la cohérence d'une démarche de gouvernance numérique/digitale sont basées sur le fait de parler des logiciels libres et non pas d'«open source», qui sont sur une culture du «copie left» profondément orientée «hiérarchie de compétence et non hiérarchie de contribution, avec des outils de «scoring» de dictature bienveillante et de modération associée à un système de vote de type condorsay pour les décisions essentielles et les élections. Au même titre, les spécialistes de l'agriculture, de l'écologie profonde, savent qu'il est important d'aborder l'agriculture, l'élevage et le respect de l'environnement sous l'angle biodynamique et thermaculturel. Et non pas uniquement biologique (que l'on dit «organic» en anglais). Au même titre, les bioconstructeurs de l'écologie profonde, qui, pour une bonne part, se nomment anarchitectes, savent qu'il est important d'aborder l'angle, non pas seulement des choix de matériaux, mais aussi de leurs liens avec les plantes vivantes, de la vision urbanistique globale et de l'aménagement des lieux de vie pour assurer une dynamique sociale enrichissante, ainsi que des flux de matière (traitement de l'eau, gestion énergétique...) particulièrement cohérents afin de traiter l'ensemble des questions de la construction écologique sous un angle profond et non pas seulement la dimension de l'économie d'énergie.
Dans tous les autres domaines, éducatif, juridique, communicationnel, les mêmes questions se posent. C'est du fait qu'il existe des outils d'échange et d'argumentation sur les meilleurs pratiques, qui seront au cœur de la démarche d'Ecopol et offriront une archive vivante permanente, que nous pensons pouvoir réunir un ensemble de spécialistes motivés qui mettront le meilleur d'eux-mêmes pour donner vie à ce lieu et cette dynamique communautaire.
