Discussion:L'émergence du Copyleft

De Wiki ECOPOL

Remarques J-H Addor

Copyleft

Attention aux « faux bons » exemples ! Un gnou ne peut pas être aussi rapide qu’une antilope. C’EST une antilope. On ne parle pas d’un type d’animaux, mais d’une espèce. Qu’est-ce qu’une licence GPL ? Manque l’explication. Nécessaire de mentionner le symbole du copyleft (© à l’envers), en précisant qu’il est l’inverse du ©, qu’il n’est pas encore reconnu, etc. Fournir des éléments d’information.

P. 36 – Copyleft (suite, 2)

Le fond est bond, bien présenté, bien formulé, et intéressant. La forme est à parfaire (apparition subite d’un « Vous devez penser… ». Incohérence de prôner la neutralité du Net et de dire aux gens ce qu’ils doivent penser).

P. 37 – Copyleft (suite, 3, RMS faits réels)

On aborde ici les faits réels de RMS, car les 2 pages précédentes n’étaient garnies que d’inventions (faits non réels ?...). Attention, incohérence. L’astéroïde 9982… Est-ce que ça apporte réellement qqch. à la compréhension du Net par le plus grand nombre ? J’en doute et pense que cela peut être supprimé. Serait préférable (et profitable pour le lecteur) d’avoir une citation originale de RMS : On sent à nouveau un parti pris anti establishment : RMS est refoulé ! (sous des prétextes très douteux, comme ils sont présentés).

P. 38 – Copyleft (suite, 4, RMS faits réels, 2)

Attention à la façon de présenter le droit d’auteur – et vérifier le texte sous l’angle juridique. Ce n’est pas seulement « définir comment sera utilisée l’œuvre ». « gauche d’auteur » : ne veut rien dire – sinon apporter une traduction très boiteuse du double jeu de mot « copyleft ». Dans tout ce chapitre, manque la citation originale et centrale de RMS : « L'idée centrale du copyleft est de donner à quiconque la permission d'exécuter le programme, de le copier, de le modifier, et d'en distribuer des versions modifiées - mais pas la permission d'ajouter des restrictions de son cru. C'est ainsi que les libertés cruciales qui définissent le logiciel libre sont garanties pour quiconque en possède une copie ; elles deviennent des droits inaliénables]. » Richard Stallman