21 critères pour définir la société de l'information
Sommaire
Reste à faire
Sam et théo recherchent docs supp avant relecture raph
utiliser le schéma d'article factuel/dominant/citoyen (factuel = éléments invariants / 2 tendances: dominante et citoyenne, parfois les deux peuvent n'être qu'un seul)
sous forme de concours-débat, concours participatif, les gens font des propositions et peuvent intervenir et proposer des modes d'analyse pour trouver surtout les invariants et les variants
Titres et intros alternatives
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To big to fail
Dans un précédent article [la chronologie est-elle respectée ?], nous avons décrit les 4 piliers d’une bonne opération d’E-communication. Des technologies, des méthodologies, des profils et des savoirs. Il reste à définir la qualité de ces éléments.
Explications: J’achète un MacIntosh. Il est beau, son design est irréprochable... A court terme c’est donc super. Mais si MacIntosh faisait faillite, que se passerait-il ? Mon ordinateur bénéficierait-il d’une maintenance en cas de panne ? Pas du tout ! Car ce dernier est la propriété exclusive de l’entreprise Apple, ce qui signifie que personne d’autre n’a le droit de fabriquer des MacIntosh. Ceci correspond au modèle de production et de consommation dits « privateur ». Microsoft, fonctionne comme cela, Disney ou AOL aussi. Tous ont un modèle de gestion « exclusif, captif, privateur ». Ce modèle fait appel aux critères de qualité suivants : secret de fabrication, monopole sur une gamme de produits, dépendance des consommateurs à de nouvelles versions, création superficielle du besoin, marketing agressif (tout est gratuit au début pour créer la dépendance). Cette approche « privatrice » est la plus répandue, mais ce n’est pas la seule. Il existe une approche dite « libre, ouverte, citoyenne ». Ces deux approches sont liées à des critères de fonctionnement, que l’on peut aussi appeler des « principes de fonctionnement » pour la production et l’utilisation des produits matériels et immatériels.
Ces critères sont basés sur des croyances en un monde infini (anciens paradigmes) ou au contraire en un monde fini (nouveaux paradigmes). Ils sont utiles lorsque beaucoup de ressources sont en jeu.
En résumé, on peut dire que la société de l’information « privatrice », basée sur les anciens paradigmes, fonctionne à court terme, de manière paniquée. Alors que la société de l’Information « Libre », basée sur les nouveaux paradigmes, fonctionne à long terme, de manière durable.
Voici réunies schématiquement les deux approches:
(ici, insérer tableau des 21 critères pour une société de l'information libre et cityenne -voir livre dev-media)
Enregistrement audio
Le libre a déjà gagné et, comme le dit Gil Scott-Heron, la révolution ne sera pas télévisée. Qu'est-ce qui fait que le libre a déjà gagné et que personne ne s'en (est) soit rendu compte? Eh bien on peut relier ça à la déclaration d'indépendance cyberespace. Il y a d'autres règles dans les environnements numériques, et l'une de ces règles (c') est que ça ne sert à rien de mettre en évidence qu'on a gagné. Ce qui sert, c'est de s'assurer que ce soit le cas et (c'est) d'être des garants de la liberté, au même titre que les peuples indigènes ne sont pas en train de dire « il faut sauver l'Amazonie », il disent simplement « laissez-nous vivre en paix ». (Et) on trouve ainsi comme point commun entre les peuples d'Amazonie et le monde du logiciel libre, le potlatch, la culture du don. Le principe même que pour être reconnu, et on peut considérer qu'il y a ainsi une boucle qui est bouclée et qu'il y a eu des déviances temporaires, mais que internet a permis de ré-établir un certain équilibre, une certaine homéostasie, parce qu'on peut dire qu'il y a une boucle qui est bouclée et que, effectivement, le principe même du libre c'est que celui qui contribue mérite, mais il mérite la reconnaissance des autres contributeurs puisque les autres ont vu son travail.(pas clair) Ceux qui n'ont pas vu le travail, il faut simplement qu'ils leur (foutent) fichent la paix et qu'ils arrêtent de vouloir contrôler les ressources. Et c'est là qu'on est dans une situation où les états comme les multinationales sont complètement impuissants, (et les multinationales aussi). (Et) Lun comme l'autre étant basés sur une hiérarchie plutôt cathédrale, elles (ils?) sont en redéfinition et elles sont en train de se remettre en question, pour être dans une hiérarchie de plus en plus bazar, typiquement avec l'Europe des régions et le régionalisme dans le monde entier: on met en valeur les régions avec la culture de l'économie solidaire et de la micro-entreprise, plutôt que de la multinationale de type cathédrale, (etc). (Et donc,) Cette tendance (elle) n'est pas spécifique à internet, mais internet en est (un petit peu) le symbole puisque, dans les environnements numériques, on peut s'offrir le luxe d'être 100% libre. Parce que c'est quand on est 100% libre qu'on est non-discriminatoire, et dès qu'il y a de la discrimination, on se met à perdre du terrain dans le domaine social et économique (et donc) . Une entreprise a donc finalement intérêt à être 100% libre, et de nombreuses entreprises font ce choix: typiquement IBM, Ericsson (? 2'36) à l'époque, mais de nombreuses autres (qui sont peut-être moins connues mais qui sont), peut-être moins connues, mais tout à fait efficaces.
Générique
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Dominant
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Citoyen
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Citations diverses (en option)
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Encart-s (en option)
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Iconographie (en option)
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Sources (en option)
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Autres documents pour usages complémentaires (en option)
PGDC
Ces dernières années, après huit ans d'analyses et d'expériences pratiques, nous avons réuni toute une série d’outils dans une boîte favorisant vraiment le bien commun. Cette boîte à outils permet notamment:
• une démocratie participative
• une optimisation de l'usage des ressources sur Terre, visant le long terme
• une fortification des petites entreprises face aux mastodontes que sont les multinationales en fusion
• une responsabilisation des plus compétents (hiérarchie de compétences et non plus de statut) dans les organisations
• un respect et une valorisation des personnes ET des groupes
• un équilibre entre nature, social et économie