Citoyenneté numérique au travail/école/famille
Sommaire
Reste à faire
vérifier redondance avec green it comporteéemtzs citoyens netoyens et digital natives
Titres et intros alternatives
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Citations diverses (en option)
(à articuler dans texte)
"les enquêtes internationales pointent un usage décevant des technologies de l'information et de la communication. L'équipement ne garantit pas la réussite."
"fini le travail individuel, place au fonctionnement en groupe" "Fini l'enseignant omniscient dispensant son savoir à des élèves silencieux place à l'animateur, au guide éclairé."
"Marc Prensky place la machine au second plan et remet l'élève au centre. Pour lui, le jeune arrive à l'école avec un savoir-faire. Comment valoriser ce capital en fonction de la technologie disponible ?"
"Le faible développement des usages n'est pas lié au manque d'équipement" =>recherche d'une nouvelle pédagogie qui prenne en comte la culture numérique des élèves..." p 36
Qui doit s'adapter, eux ou les institutions ? P 23 Ecole comme gardienne de la tradition plutôt que laboratoire du 3e millénaire...
"depuis leur naissance les digital natives cumulent 10 000 heures de jeux video et 10 000 heures de conversation téléphonique, 200 000 courriels et messages instantanés pour, au mieux 5000 heures de lecture."
Plus que 39% des élèves estiment les contenus scolaires importants pour leur avenir contre 50% il y a 17 ans" selon une étude du ministère américain de l'éducation. p 27
"Le système éducatif actuel ne trouvera sa pertinence que si l'on construit des ponts entre leur vie et leur école."
Olivier le Deuff (doctorant en culture de l'information): "tous les jeunes ne sont pas des digital natives (...) leurs capacités restent par fois superficielles et peu approfondies en particulier parce que rares sont ceux qui ont réellement conscience du fonctionnement des réseaux et des langages informatiques qui sont derrière." p 27
Marc Prensky: "Il faut remettre Socrate au goût du jour" p 35
"Je n'essaie jamais d'enseigner qqch à mes étudiants. Je m'efforce seulement de mettre en place une atmosphère propice à leur apprentissage." Einstein
Encart-s (en option)
Idées et citations tirées du Monde l'Education, avril 2008, pp 24 à 36.=> Génération Digital Natives Stats [rubrique le saviez-vous ?]
70% des ados passent plus de deux heures / jour sur Internet 4h17 c'est le temps moyen que les jeunes passent dvt un écran chaque jour
85% des 9 millions de blogs français sont tenus par des 15/25 ans 34% des 12-15 ans et 23% des 16-19 ans gèrent quotidiennement leur blog
Sociabilité (nb moyen de contacts par adolescents): 94 numéros sur le portable? 78 sur MSN, 86 sur les sites communautaires
Multitâches: 70-80% des 16-20 ans utilisent plusieurs medias en même temps...
30 % des 11-15 ans participent à des jeux de réseau en ligne.
En 7 ans la connexion à Internet a triplé, la possession de tél mobiles a quadruplé et concerne des enfants de plus en plus jeunes...
Corps de l'article
Pour construire ensemble une société de l’Information qui réponde aux besoins de la majorité des citoyens, il faut d’abord que les citoyens s’entendent sur les besoins communs. Par exemple, le besoin d’équité des chances. Si tout le monde a les mêmes chances, au moins le monde paraît juste : on récolte ce que l’on sème. Et pour cela, il faut des règles communes qui soient animées (participation à l’évolution) par les citoyens, et non par des gouvernants intouchables.
Exrait d’un texte de RMS sur les LL, 20 ans après leur premiers pas : Source : http://www.gnu.org/philosophy/use-free-software.fr.html Les logiciels non-libres constituent un système antisocial qui interdit la coopération et la mise en commun. E n particulier, on ne peut pas voir le code source, on ne peut pas savoir quels vilains tours ni quelles erreurs stupides il peut contenir. Si on ne l'aime pas, on est incapable de le modifier. Et, pire que tout, on n'a pas le droit de le partager avec qui que ce soit. Interdire le partage des logiciels revient à couper les liens qui unissent la société. […]La façon la plus efficace de renforcer notre communauté à l'avenir, c'est de contribuer à la compréhension de la valeur de la liberté, de montrer à un nombre croissant de gens que les logiciels non-libres sont moralement inacceptables. Les gens pour qui la liberté est essentielle seront toujours, après tout, ses meilleurs défenseurs.
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Autres documents pour usages complémentaires (en option)
Manuel de survie pour les parents développé sous forme participatives.(Josiane Aubert)
Il s'agit de conseils.
1)90% de confiance aux enfants dans leur usage et 10% de contrôle. Donc essayer de vérifier que s'ils passent 10 heures, il y en a une que vous passez avec eux pour voir ce qu'ils font. Les contrôles surprises, c'est normal.
2)
3)Créer des rituels, éteindre le téléphone la nuit, archiver correctement les documents, cela va les sensibiliser à la responsabilité. La responsabilité passe par les rituels. Les gens se sentent intronisés d'une responsabilité parce qu'il y a des étapes.
4)
5)Stocker les mots de passe dans un espace connu des parents est un autre moyen d'avoir du contrôle.
6)
7)Rappeler aux enfants que Internet peut aussi rendre stupide, non pas seulement intelligent. Il ne doit pas nous décharger de notre responsabilité d'être capable de compter sur nos doigts, d'être capables de réaliser nous-mêmes certaines fonctions que nous ne devons pas sous-traiter aux machines mais plutôt, donner aux machines comme une prolongation lorsqu'on maitrise. On doit donc être capables de coordonner la machine plutôt que d'en dépendre.
8)
9)Il faut comprendre les malentendus et les erreurs qui excluent. Par exemple, (là on peut faire un article sur Hacker et Cracker). Un hacker c'est quelqu'un qui trouvent des trucs. C'est un artiste qui est vraiment capable de succès alors qu'un cracker c'est la face obscur du hacker qui utilise ses compétences pour faire le mal. Au même titre que l'on peut avoir un magicien qui va animer une soirée et quelqu'un qui a les mêmes compétences qui va les utiliser pour faire du vol à l'étalage ou du picpocket. Ce sont les mêmes compétences, mais l'un des deux c'est pour montrer qu'il y a d'autres manières de faire et d'autres mondes et pour offrir du rêve au gens. Et l'autre c'est pour leur faire du mal.
10)
11)Il faut éviter d'utiliser, et c'est une erreur standard des journalistes incompétents, c'est qu'ils utilisent hacker pour des gens qui ont fait du mal alors qu'en faisant ça, ils ont un impact. En effet, tous les gens qui sont conscients de ce que c'est un hacker, c'est grave. D'une part, tous les jeunes qui se sentent hackers, donc qui se sentent capables de résoudre des problèmes et d'apporter des solutions, ils sont marginalisés par le comportement des journalistes qui retombe sur le comportement des parents parce que les parents lisent le journal et disent, toi tu es un hacker, regarde c'est pas bien. Ils sont obligés de rentrer dans une démarche de marge et de pseudonymat. Ils développent une culture de rejet de la société et donc ils peuvent même pas être des contributeurs de l'intelligence collective mais des contributeurs de la société. Donc on a des citoyens potentiellement merveilleux, qui peuvent être des leaders d'opinions, des vrais personnes reconnues, et c'est très grave de s'autoriser cela.
12)
13)Connaitre les forces et les faiblesses des digital natifs et des digital migrants. (Faire référence à l'article l'élève numérique du monde de l'éducation de mars 2008).
14)
15)Encore mettre en évidence les erreurs et les solutions politiques, notamment l'investissement dans les infrastrucutres dénoncé depuis 2007 (depuis le forum économique de Davos) par ???(4.25min)??? et tous les pères fondateurs du Net. Ils disent: attention, vous ne pouvez pas coloniser Internet et juste y mettre des tuyaux. Ce n'est pas une histoire de tuyaux, c'est une histoire de comportements et donc de regards sur le monde et de développement personnel et de développement collectif.