Discussion:ECulture & netizenship : kesako ?

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A ajouter : ancien article eculture: comment mettre de la conscience sur internet


Reste à faire

A faire par théo cf wikipedia définition eculture

utiliser le schéma d'article factuel/dominant/citoyen (factuel = éléments invariants / 2 tendances: dominante et citoyenne, parfois les deux peuvent n'être qu'un seul)

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Le bien commun, c'est ce qui est accessible à tous, sans restrictions. Une base, un socle sur lequel construire des initiatives personnelles et sur lequel repose la propriété. Sans route commune, pas de maisons privées; sans norme de communication commune, pas de profil web personnel, (etc). Et s'il ne fallait retenir qu'une chose sur le bien commun, c'est que plus le monde se complexifie, plus le bien commun est essentiel; car seul le bien commun garantit l'équité des chances. Et sans équité des chances, c'est nous tous qui sommes en danger, qui risquons de... à reprendre. Comme internet amplifie tout, il amplifie aussi les risques d'abus, (d'inéquité) de non équité, ou d'iniquité (et il amplifie) ainsi que le potentiel d'équité et donc (le potentiel) celui de paix, d'harmonie, basé sur le sentiment de justice. Les meilleurs phénomènes du bien commun sont notamment Wikipedia, Firefox, et leur précurseur est la base de tous le mouvement voulu (? 2:20), d'où sont issus les projets de Linux, Debian, OpenOffice, etc.

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Remarques J-H Addor

eCulture et Netizenship

Paradigme : le terme est exact, mais il est peu connu (donc pas bien compris) de la plupart des gens. Introduire la notion de « vision du monde » et celle de « modèle de fonctionnement de la société », voire celle de « modèle de communication » pour être plus compréhensible et plus précis. Bien de mentionner eCommerce, ePortfolio. Il me semble indispensable de mentionner également eLearning (+ quelques autres eQqch). L’explication du mot « politique » est totalement subjective. Associer ipso facto politique et malversations est arbitraire et faux. De plus, si vous cherchez à séduire des partenaires potentiels (comme p. ex. des Départements cantonaux de la formation, de la jeunesse et de la culture, par leurs directions, offices et autres service), cette approche péremptoire vous ôtera toute crédibilité – en même temps qu’elle vous fermera définitivement certaines portes. L’adjectif « politique » ne caractérise pas seulement ce qui fait référence à la vie de la cité (notion résolument dépassée remontant au temps des Romains). La politique est cantonale, régionale, nationale,… jusqu’à mondiale. Le propos du livre n’est pas de développer une présentation de la politique, ou du (monde) politique. Il doit néanmoins y faire référence, d’une façon plus exacte autant que nuancée. La crédibilité de l’ouvrage est ici largement concernée. Notre relation avec la nature : environnement serait plus indiqué. Nos principes de base : les limiter aux « règles en famille, à l’école, au travail » est extrêmement réducteur. Par chance, la vie est plus variée et ne se limite pas à ces 3 sphères d’activités.

P. 24 – Ecosystèmes

Bonne définition en peu de mots, bien qu’un peu réductrice.

P. 24 – Bien commun

Dans l’approche de ce qu’est le bien commun, pourquoi mentionner d’emblée que « chacun peut l’endommager » ? (Propos négatif ou, vu sous un autre angle, autorisant à commettre des dégâts). Introduire la notion de responsabilité (collective et individuelle) vis-à-vis du bien commun me semble indispensable (notamment en regard de la suite de l’ouvrage, lorsqu’on abordera la question des modifications apportées à un bien commun comme un logiciel libre). La question de l’énergie, comme elle est présentée ici, est fortement sujette à controverses. Parle-t-on d’énergie potentielle, de production d’énergie, de besoins énergétiques ? Ces 3 sujets sont à tel point différents qu’ils démontrent qu’on ne peut pas cataloguer l’énergie comme un bien commun. Du moins pas ainsi. Logiciels, médicaments, gènes, etc. : présentation fortement tendancieuse (donc subjective). On sent d’emblée qui vous voulez faire passer pour les « bons » et les « gentils », et qui vous souhaitez cataloguer comme « méchants ». Démarche pas cohérente avec la suite de l’ouvrage, lorsque vous prônez la neutralité du Net. Mentions des sources : nécessaire ici de mentionner non seulement une source pour le bien commun, mais également d’autres pour l’eCulture, la Netizenship et les Ecosystèmes.

P. 25 – L’eCulture s’immisce…

Services de base pour tous (alimentation, eau, air). Confusion : ce ne sont pas des services, mais d’abord des ressources. Respect des espèces en voie d’extinction : avant qu’elles soient en voie d’extinction, il faut prendre en considération d’abord celles qui sont menacées. Les enjeux citoyens au travail, en famille, à l’école : observation formulée ci-dessus, la vie ne se résume pas à ces 3 sphères. Court et réducteur. … faire sauter les verrous des querelles anciennes qui brident la coopération sociale : de nombreux éléments modernes brident plus que des querelles anciennes la coopération sociale ! On le perçoit par la démobilisation des gens à ne plus se porter volontaires, p. ex. Ne dit-on pas des médias et du numérique qu’ils confinent les gens, au détriment du dialogue avec leurs proches, leurs voisins, etc. ? Procès rapide et lapidaire des « anciens » modèles de société et des « anciennes » valeurs. Sera mal reçu. La comparaison entre l’e-mail mal dirigé et le plastique tombé dans la rivière est maladroite. En effet, au paragraphe suivant, vous laissez entendre que « ces maladresses ne sont pas graves ». Pas de le cas d’un e-mail mal dirigé, mais dans le cas d’un plastique tombé à la rivière, si ! Car si chacun peut être excusé d’avoir mal dirigé un e-mail, peut-on excuser de la même manière que chacun jette (même par inadvertance) un plastique à la rivière ? Et dans ce cas, où s’arrête l’inadvertance (tolérée) et le confort personnel (intolérable, même insupportable lorsqu’il se répète plusieurs centaines, voire milliers de fois ? Exemple des gens qui jettent leur mégôt de cigarette par la fenêtre de leur voiture, ou sur les pistes de ski, etc. En général, mélange d’explications (leçons sur un ton un brin professoral…) et de commentaires (assortis d’une intention sous-jacente perceptible : Que devez-vous en penser ?). Donne de surcroît l’impression de vouloir se justifier. Est-ce le but de l’ouvrage ?

P. 26 – Netizen

Bonne définition, bien résumée. Manque toutefois le terme de « cybercitoyen » (qui existe, contrairement à « citoilien » - qui ne figure pas sur Wikipédia (dont l’ouvrage fait et va faire la promotion, à tout le moins pour sa démarche intellectuelle)). Sources : en général, valable pour toutes les Sources : est-ce utile de mentionner des adresses web aussi complexes, que personne n’aura la patience de recopier, en sachant qu’on a toutes les chances de faire une erreur ou une faute de frappe ? Va pour l’eVersion du livre, pas pour le print. (N.B. : la question se pose de la même façon pour les liens renvoyant sur des vidéos. Pour toutes ces références Web, nécessaire de réfléchir et de trouver une solution qui permette de passer aisément du print au numérique pour remonter aux Sources).