Discussion:Les communautés intentionnelles

De Wiki ECOPOL

suppression de la part de Pryska

Je ne trouve pas la source de ce qui est écrit à propos de ces Incas. le larousse est moins idyllique : guerre, sacrifices de femmes et d'enfants... rien de très reluisant. Pour moi, c'est pas tellement de la communauté intentionnelle. Je n'ai pas le temps de creuser davantage...Pr.D. (discussion) 17 août 2013 à 20:12 (CEST) http://www.larousse.fr/encyclopedie/autre-region/inca/124891

=> Un peu d'histoire : la communauté Inca

La civilisation Inca (XIIe siècle-XVIe siècle) a pu compter plus de 20 millions de personnes à son apogée. Sans argent, ni propriété privée, les Incas ont constitué un empire, ce qui en fait un modèle intéressant. Cependant, à l'arrivée des Espagnols (à partir de 1527), le manque d'armes et de pratiques guerrières a réduit leurs chances de survie et beaucoup ont été tués. Pendant plusieurs centaines d'années, l'empire Inca a continué à incarner un mode de vie communautaire doté de plusieurs langues et cultures, mais aussi de membres aux qualités différentes.
La clé du succès de cet empire est d'avoir basé la vie communautaire sur le partage des savoir-faire plus que sur la peur ou l'obligation. Pour inclure un peuple à leur empire, les Incas montraient leur supériorité par la maîtrise d'un savoir technique plus évolué et offraient de le partager. Ils régnaient grâce au partage de l'information.
Ecopol s'inspire du même concept où tout savoir doit se partager.

=> Faut-il enlever ce paragraphe? (dans Choisir son appartenance) :
Dans le cas d'un pôle international d'écologie communautaire comme Ecopol, des personnes font le choix de se rassembler, de mettre des ressources en commun et d'adopter un style de vie autour d'intentions multiples. Il n'y a pas de religion commune, mais des pratiques communes. Ecopol tente en effet de concilier diverses "bonnes intentions" économiques, sociologiques, politiques (au sens vie de la cité) au sein d'une démarche cohérente reliée à une intention supérieure : le bien-être et le vivre ensemble durable.
Lors de la création d'un nouveau pôle, il est essentiel de se référer aux communautés intentionnelles du passé pour s'inspirer de leur réussite. Ainsi, on évite d'avancer en tâtonnant, à l'intuition, et au hasard; mais en s'appuyant sur ce qui existe, de manière à savoir où l'on va. Afin de ne pas réinventer la roue, les promoteurs du projet Ecopol ont rendu visite à un grand nombre de communautés intentionnelles.


texte à intégrer

« Communauté intentionnelle » est une expression surtout utilisée au Québec pour désigner un ensemble de personnes d'origines diverses ayant choisi de vivre ensemble en un lieu donné et sous une forme organisationnelle et architecturale définie. C'est l'intention qui distingue la communauté d'une autre.

On recense aujourd'hui au moins six formes de communautés intentionnelles définies :

  • la communauté religieuse ou communauté spirituelle (ex: monastère, kiboutz, ashram etc.)
  • la commune, habituellement rurale
  • l'écovillage
  • l'écoquartier
  • la coopérative d'habitation (marché locatif, secteur semi-privé)
  • le cohabitat

Les communautés intentionnelles regroupent souvent, bien que pas nécessairement, des gens partageant une préoccupation pour l'environnement et ledéveloppement durable.
On parle aussi de communautarisme de lieux de vie.

(Source: www.wikipedia.org)

Le réseau est informel, il est composé de nombreux projets aux idéologies assez marquées (politique, spirituelle, etc.), qui, pour survivre, ont dû s'ouvrir à la différence.
A citer notamment:

  • les centres anthroposophes découlant des travaux de Rudolf Steiner
  • les communautés Yamagishi, initiées au Japon, présente sur presque tous les continents, y compris en Suisse et au Brésil
  • les communautés de l'Arche initiées par Lanza del Vasto
  • Les communautés Emmaüs initiées en France dans les années 1950
  • le mouvement socio-économique solidaire des Focolari
  • les monastères et temples de toutes religions, organisés selon des pratiques globalement très durables
  • les projets utopiques plus anciens (phalanstère de Fourier, les Ashram du Mahatma, Gandhi en Inde, ou les projets utopiques, non réalisés, uniquement décrits de Thomas Moore, Marivaux ou de Rabelais)

Remarques Fabien

Nos ancêtres vivaient dans des grottes, en petits groupes. Nos aïeuls se serraient eux aussi les coudes, au sein de communautés villageoises. Avaient-ils fait le choix de vivre ensemble ou étaient-ils juste motivés par la peur d'être seuls ? Avec l'accès aux moyens de transport rapides pour tous comme les trains, la voiture ou l'avion, les possibilités de changer de lieux de vie sont décuplées. D'autant plus que le marché du travail nous invite de plus en plus à cultiver cette mobilité. Parallèlement à cette liberté accrue de déplacement, qui entraîne aussi l'éclatement des structures communautaires, un retour en force du mode de vie communautaire est apparu. Ce qui n'était pas choisi autrefois, peut désormais faire l'objet d'un acte délibéré, intentionnel. Chacun est ainsi libre de se choisir un nouveau mode de vie.


Relecture Félicie

-A remettre plus tard communautés, communauté, cultures, FR, community, société, communauté intentionnelle


-Changer : "Les communautés intentionnelles existent depuis très longtemps, sous la forme de communautés religieuses principalement, avec les monastères et les couvents par exemple. Les âshram sont ainsi présents en Inde depuis au moins 4 000 ans avant J.C... Dans les Amériques, les Amish, Quakers, Mennonites sont plusieurs millions à vivre en communautés dans la simplicité volontaire, intentionnellement. " Par "Les communautés intentionnelles existent depuis très longtemps, souvent sous forme religieuse. En effet, les Âshram sont en Inde depuis près de 4 000 ans av. J-C. Nous pouvons de plus citer les Amish, Quakers, Mennonites installés en Amérique."